Richard Holterbach, prêtre peintre pradosien
Sur son site, Richard Holterbach y a déposé ce qui ne bouge pas : son histoire.
Il écrit :
« J’aimerai rendre compte des deux réalités de ma vie : prêtre et peintre.
Deux mondes qui se nourrissent mutuellement.
Telle rencontre, telle confidence, tel geste de la main, du corps, tel plissement des yeux, de la bouche s’impriment en moi et vont se retrouver sur une toile, un dessin. »
Depuis septembre 2014, il est en retraite domicilié à Strasbourg au 16 rue du Gazon : « Dans cette nouvelle étape je rends des services à l'aumônerie des prisons, la responsabilité des Frères du Prado. Le chevalet, la terre sont prêts pour la création ».
Notons encore que sa peinture vit sous toutes ses formes. Encre, pastels, aquarelle, peinture sous verre, huile : « parfois je laisse reposer une technique durant un certain temps avec l’espoir qu’elle mûrit au fond de moi et que le moment voulu, elle s’exprime avec « un petit plus ». C’est Victor Bertani qui lui a appris cela : « Parfois il n’y a qu’un petit coin de tableau qui est réussi, il faut l’observer, il indique où aller pour le prochain. »
Plus d’info sur son site : http://richard.holterbach.pagesperso-orange.fr/
Il écrit :
« J’aimerai rendre compte des deux réalités de ma vie : prêtre et peintre.
Deux mondes qui se nourrissent mutuellement.
Telle rencontre, telle confidence, tel geste de la main, du corps, tel plissement des yeux, de la bouche s’impriment en moi et vont se retrouver sur une toile, un dessin. »
Depuis septembre 2014, il est en retraite domicilié à Strasbourg au 16 rue du Gazon : « Dans cette nouvelle étape je rends des services à l'aumônerie des prisons, la responsabilité des Frères du Prado. Le chevalet, la terre sont prêts pour la création ».
Notons encore que sa peinture vit sous toutes ses formes. Encre, pastels, aquarelle, peinture sous verre, huile : « parfois je laisse reposer une technique durant un certain temps avec l’espoir qu’elle mûrit au fond de moi et que le moment voulu, elle s’exprime avec « un petit plus ». C’est Victor Bertani qui lui a appris cela : « Parfois il n’y a qu’un petit coin de tableau qui est réussi, il faut l’observer, il indique où aller pour le prochain. »
Plus d’info sur son site : http://richard.holterbach.pagesperso-orange.fr/
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