J’ai rencontré Henri Caffart cet été au moins d’août à Limonest pendant le mois pradosien. J’ai enregistré son témoignage de prêtre ouvrier. C’est le petit film que je propose ici.
En cherchant sur internet, j’ai vu qu’il était surtout reconnu comme exorciste. C’était en 2009.
Voir ce qu’en dit Perrine Diéval dans La voix du Nord. Article du 27/11/2009.
Ordonné en 1958, il a été prêtre ouvrier (chauffeur poids lourds) de 1966 à 1990. Il a aussi été syndicaliste CFDT, délégué du personnel et juge aux Prud’hommes. Et encore, visiteur dans les prisons et une activité au sein du Mouvement « Vie libre » (lutte contre l’alcoolisme).
Quand l’évêque lui a demandé d’être exorciste il a dit pour s’en expliquer à un journaliste :
« Je ne me voyais pas du tout devenir prêtre exorciste. » Alors, il demande un temps de réflexion pour examiner la question. Pour se renseigner aussi. Il va se documenter, rencontrer des confrères. « J’ai consulté 33 personnes ». Pas forcément des hommes d’Eglise, d’ailleurs. Il acceptera finalement la mission et suivra une formation en psychologie et psychiatrie de deux ans avec les aumôniers de l’hôpital Sainte-Anne à Paris.
Ce même sérieux se retrouve dans son témoignage de 2016 au Prado. Pour prêtre selon l’Evangile, il convient d’être disciple du Christ, de vivre avec les gens, partager leur condition de vie. C’est pour cela qu’il a choisi de devenir prêtre ouvrier sur une suggestion de l’évêque.
Voir le courrier des prêtres-ouvriers.
En cherchant sur internet, j’ai vu qu’il était surtout reconnu comme exorciste. C’était en 2009.
Voir ce qu’en dit Perrine Diéval dans La voix du Nord. Article du 27/11/2009.
Ordonné en 1958, il a été prêtre ouvrier (chauffeur poids lourds) de 1966 à 1990. Il a aussi été syndicaliste CFDT, délégué du personnel et juge aux Prud’hommes. Et encore, visiteur dans les prisons et une activité au sein du Mouvement « Vie libre » (lutte contre l’alcoolisme).
Quand l’évêque lui a demandé d’être exorciste il a dit pour s’en expliquer à un journaliste :
« Je ne me voyais pas du tout devenir prêtre exorciste. » Alors, il demande un temps de réflexion pour examiner la question. Pour se renseigner aussi. Il va se documenter, rencontrer des confrères. « J’ai consulté 33 personnes ». Pas forcément des hommes d’Eglise, d’ailleurs. Il acceptera finalement la mission et suivra une formation en psychologie et psychiatrie de deux ans avec les aumôniers de l’hôpital Sainte-Anne à Paris.
Ce même sérieux se retrouve dans son témoignage de 2016 au Prado. Pour prêtre selon l’Evangile, il convient d’être disciple du Christ, de vivre avec les gens, partager leur condition de vie. C’est pour cela qu’il a choisi de devenir prêtre ouvrier sur une suggestion de l’évêque.
Voir le courrier des prêtres-ouvriers.
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