24 heures après le lancement d’exercices de manœuvres en mer Noire, devant le port de Sébastopol en Crimée, la Russie annonce avoir déployé dans la péninsule plusieurs système de défense antiaérienne et antimissile S-400.
L’Ukraine accuse la Russie de préparer des troubles et a placé des troupes en état d’alerte rouge.
“Ils essaient de brouiller les pistes” assure Vadim Skibitski, le responsable des renseignements du ministère ukrainien de la Défense. Il y a “d’abord l’augmentation du nombre des militaires en Crimée et ensuite les mouvements de troupes à proximité de nos frontières. Personne ne peut exclure d’autres actions des forces armées russes qui renforcent leurs menaces contre nous et l’escalade des tensions autour de notre pays.”
De son côté Moscou explique avoir arrêté en Crimée un “saboteur terroriste” envoyé par Kiev et le Premier ministre russe Dmitri Medvedev n’exclut pas la rupture de relations diplomatiques.
“Je n’aimerais pas que tout cela se termine de cette manière. Cela dit, s’il n’y a pas d’autre possibilité d’influer sur la situation, le président peut probablement prendre cette décision.”
L’Ukraine assure de son côté que les aveux d’Evgueni Panov, diffusés par les médias russes, selon lesquels il aurait été envoyé par Kiev en Crimée pour préparer des attentats, ont été obtenus sous la pression et qu’il ne fait pas partie des services de renseignements ukrainiens.
L’Ukraine accuse la Russie de préparer des troubles et a placé des troupes en état d’alerte rouge.
“Ils essaient de brouiller les pistes” assure Vadim Skibitski, le responsable des renseignements du ministère ukrainien de la Défense. Il y a “d’abord l’augmentation du nombre des militaires en Crimée et ensuite les mouvements de troupes à proximité de nos frontières. Personne ne peut exclure d’autres actions des forces armées russes qui renforcent leurs menaces contre nous et l’escalade des tensions autour de notre pays.”
De son côté Moscou explique avoir arrêté en Crimée un “saboteur terroriste” envoyé par Kiev et le Premier ministre russe Dmitri Medvedev n’exclut pas la rupture de relations diplomatiques.
“Je n’aimerais pas que tout cela se termine de cette manière. Cela dit, s’il n’y a pas d’autre possibilité d’influer sur la situation, le président peut probablement prendre cette décision.”
L’Ukraine assure de son côté que les aveux d’Evgueni Panov, diffusés par les médias russes, selon lesquels il aurait été envoyé par Kiev en Crimée pour préparer des attentats, ont été obtenus sous la pression et qu’il ne fait pas partie des services de renseignements ukrainiens.
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