Bruno Le Maire a de l’humour. Et il l’a plus que démontré lors de la remise de «[px_nbsp:nbsp]son Grand Prix de l’humour politique 2[px_nbsp:thinsp]016[px_nbsp:nbsp]» pour sa phrase prononcée en février dernier. Le candidat à la primaire de la droite a fait un stand-up de plus de 7 minutes dont voici les extraits les plus savoureux.
«[px_nbsp:nbsp]Grand Prix du Jury, Grand Prix des Internautes… dans le fond c’est carton plein pour moi ce soir. C’est ce qu’on appelle au bowling, un strike. Notez que quand je fais une connerie, je ne la fais pas à moitié[px_nbsp:nbsp]» a-t-il commencé avant d’ajouter[px_nbsp:thinsp]: «[px_nbsp:nbsp]C’est l’aboutissement de toute une vie politique, de toute une vie personnelle, marquée par la fantaisie, l’originalité et pour tout dire, la franche déconnade[px_nbsp:nbsp]». Puis il a enchaîné sur sa vie de ministre. «[px_nbsp:nbsp]Ministre de l’Agriculture, j’étais incapable de reconnaître le cri du dindon. Incapable de convertir en m2, un hectare. Et quand on m’a parlé d’enjambeur, j’ignorais totalement que c’était un outil agricole utilisé dans les vignes… je pensais que c’était un sextoy[px_nbsp:nbsp]» a-t-il raconté provoquant de nombreux rires.
Bruno Le Maire a enfin dédicacé ce prix au sergent qui le supervisait lors de son service militaire. «[px_nbsp:nbsp]Un jour où je me trouvais dans la cour de la caserne de Montélimar, sous la neige, en train de démonter mon Famas, il y a une petite pièce du Famas qui est partie très loin… avec le ressort et la petite pièce en métal qui valait une fortune perdue dans la neige. Et là, le sergent s’est approché de moi, tout petit sergent, très trapu. Il s’est approché de moi, l’air furieux, et m’a dit[px_nbsp:thinsp]: “Le Maire, non seulement vous êtes grand mais en plus, vous êtes con”[px_nbsp:nbsp]» a-t-il narré. Un show plus que réussi.
«[px_nbsp:nbsp]Grand Prix du Jury, Grand Prix des Internautes… dans le fond c’est carton plein pour moi ce soir. C’est ce qu’on appelle au bowling, un strike. Notez que quand je fais une connerie, je ne la fais pas à moitié[px_nbsp:nbsp]» a-t-il commencé avant d’ajouter[px_nbsp:thinsp]: «[px_nbsp:nbsp]C’est l’aboutissement de toute une vie politique, de toute une vie personnelle, marquée par la fantaisie, l’originalité et pour tout dire, la franche déconnade[px_nbsp:nbsp]». Puis il a enchaîné sur sa vie de ministre. «[px_nbsp:nbsp]Ministre de l’Agriculture, j’étais incapable de reconnaître le cri du dindon. Incapable de convertir en m2, un hectare. Et quand on m’a parlé d’enjambeur, j’ignorais totalement que c’était un outil agricole utilisé dans les vignes… je pensais que c’était un sextoy[px_nbsp:nbsp]» a-t-il raconté provoquant de nombreux rires.
Bruno Le Maire a enfin dédicacé ce prix au sergent qui le supervisait lors de son service militaire. «[px_nbsp:nbsp]Un jour où je me trouvais dans la cour de la caserne de Montélimar, sous la neige, en train de démonter mon Famas, il y a une petite pièce du Famas qui est partie très loin… avec le ressort et la petite pièce en métal qui valait une fortune perdue dans la neige. Et là, le sergent s’est approché de moi, tout petit sergent, très trapu. Il s’est approché de moi, l’air furieux, et m’a dit[px_nbsp:thinsp]: “Le Maire, non seulement vous êtes grand mais en plus, vous êtes con”[px_nbsp:nbsp]» a-t-il narré. Un show plus que réussi.
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