• il y a 8 ans
En pleine finale, le journaliste a été vertement prié par le joueur écossais de quitter la partie de tribune où il était installé

Durant la finale de Roland-Garros dimanche, Andy Murray a respecté deux traditions. Celle de s'incliner (il a perdu huit finales de Grand Chelem sur dix disputées) et celle de disjoncter.
Durant la première manche, alors qu'il menait 4-2, il se met à hurler en direction de son box, la petite partie des tribunes où sont assis ses proches et entraîneurs. "Sortez-le du box !", crie-t-il à plusieurs reprises.

En pleine finale, le journaliste a été vertement prié par le joueur écossais de quitter la partie de tribune où il était installé

Durant la finale de Roland-Garros dimanche, Andy Murray a respecté deux traditions. Celle de s'incliner (il a perdu huit finales de Grand Chelem sur dix disputées) et celle de disjoncter.


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Durant la première manche, alors qu'il menait 4-2, il se met à hurler en direction de son box, la petite partie des tribunes où sont assis ses proches et entraîneurs. "Sortez-le du box !", crie-t-il à plusieurs reprises.



Les commentateurs de France 2 comprennent que Nelson Monfort est visé. Le journaliste est accrédité pour se balader à sa guise dans les tribunes de Roland-Garros et interviewer les coachs ou les familles des joueurs. Mais l'Écossais, toujours aussi lunatique sur le court, n'a visiblement pas apprécié de l'avoir dans son champ de vision.

Nelson Monfort, interviewé par "La Nouvelle Édition" de Canal+, a donné sa version des faits lundi :

"Il y a eu un petit malentendu parce que effectivement j'étais assis sur le banc réservé aux journalistes. Il y en a un côté Djokovic, un côté Murray. Je n'ai pas posé la moindre question à son banc. Pour vous dire la vérité, je ne sais pas s'il faisait signe à moi ou aux personnes qui étaient debout dans la rangée. Dans le doute j'ai préféré quitter les lieux, ce qui ne l'a pas empêché de me répondre très gentiment à la fin du match."

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