Newell Rubbermaid Made in China
Boycott PaperMate
Le scandale Reynolds continue à Valence.
Le licenciement économique n’était pas fondé.
Des stylos Reynolds made in China
http://www.20minutes.fr/article/209462/A-la-Une-Des-stylos-Reynolds-made-in-China.php
conférence de presse
du mardi 29 janvier 2008 à 9h00
devant le site logistique ZA les Guimands
26120 Malissard VALENCE
Suite aux licenciements abusifs de 256 salariés pour délocalisation sauvage de la production de stylos Reynolds, les élus CFDT dénoncent
une fraude massive aux consommateurs par la vente en grande surface de stylos fabriqués en Chine et marqués « Made in France ».
la rétention d’information sur la fermeture du site prévue depuis 2004 et qui donne lieu au dépôt d’une plainte avec constitution de partie civile du CE et du syndicat CFDT Chimie Energie pour délit d’entrave.
le motif économique des licenciements. 130 salariés portent plainte aux prud’hommes appuyés par l’avis défavorable aux licenciements par l’inspection du travail.
l’absence totale de projet industriel de la Mairie, qui a exercé son droit de préemption sur le site sans avoir de réelles perspectives d’emplois.
le gâchis de cette délocalisation considérée comme un plantage puisque la direction reconnait 20 millions d’euros de perte depuis le transfert en Chine et en Tunisie.
Boycott PaperMate
Le scandale Reynolds continue à Valence.
Le licenciement économique n’était pas fondé.
Des stylos Reynolds made in China
http://www.20minutes.fr/article/209462/A-la-Une-Des-stylos-Reynolds-made-in-China.php
conférence de presse
du mardi 29 janvier 2008 à 9h00
devant le site logistique ZA les Guimands
26120 Malissard VALENCE
Suite aux licenciements abusifs de 256 salariés pour délocalisation sauvage de la production de stylos Reynolds, les élus CFDT dénoncent
une fraude massive aux consommateurs par la vente en grande surface de stylos fabriqués en Chine et marqués « Made in France ».
la rétention d’information sur la fermeture du site prévue depuis 2004 et qui donne lieu au dépôt d’une plainte avec constitution de partie civile du CE et du syndicat CFDT Chimie Energie pour délit d’entrave.
le motif économique des licenciements. 130 salariés portent plainte aux prud’hommes appuyés par l’avis défavorable aux licenciements par l’inspection du travail.
l’absence totale de projet industriel de la Mairie, qui a exercé son droit de préemption sur le site sans avoir de réelles perspectives d’emplois.
le gâchis de cette délocalisation considérée comme un plantage puisque la direction reconnait 20 millions d’euros de perte depuis le transfert en Chine et en Tunisie.
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