L'Ecole Buissonière
Court Métrage pour le Baccalauréat 2007 au Lycée Jean Vigo, Millau. Réalisateurs : Théo Loew, Orianne Libot et Josh Imeson.
Ce court-métrage est sensé exprimer le manque d'une mère et d'un frère morts prématurements pour un jeune fils de fermier plus artiste dans l'âme que manuel (dans les mains ?!) et qui plus est se retrouve à aider à la ferme tous les matins avant d'aller en cour ce qui lui vaut de rater son bus et de devoir se rendre en stop à son examen blanc de philo, dont la thématique est "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" (on peut considerer cela comme le message du film). Et cet ado perdu dans les tourments de son désarroie bucolique et métaphorique (c'est classe, hein ?) se retrouve à faire "l'école buissonière" autant au sens figuré qu'au sens propre étant donné qu'il sèche son exam mais que finalement il y réfléchit et y répond inconsciemment dans la nature, autrement dit dans les "buissons". Il exprime sur sa copie le goufre qui l'empêche d'avancer malgrès son envie d'oublier et de vivre et y explique que cette souffrance qui le tiraille lui empêche de ressentir tous les maux d'un adolescent classique basique, et lui permet de passer par dessus l'idiotie de son âge, il acquière une mâturité bien plus élevée que ses camarades et son discernement lui permet de repondre surement que ce qui ne l'a pas tué l'a, d'une certaine manière, rendu plus fort. Voila à peu près le message qu j'AURAIS voulu faire passer dans ce film bien que je me doutes bien que ce n'est pas vraiment compréhensible... Il me reste encore des kilometres à faire avant de réussir à capter les emotions sur l'image, à donner des tableaux qui parlent d'eux mêmes.. Mais je suis motivé et je compte bien m'améliorer !!
Théo Loew
Ce court-métrage est sensé exprimer le manque d'une mère et d'un frère morts prématurements pour un jeune fils de fermier plus artiste dans l'âme que manuel (dans les mains ?!) et qui plus est se retrouve à aider à la ferme tous les matins avant d'aller en cour ce qui lui vaut de rater son bus et de devoir se rendre en stop à son examen blanc de philo, dont la thématique est "Ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort" (on peut considerer cela comme le message du film). Et cet ado perdu dans les tourments de son désarroie bucolique et métaphorique (c'est classe, hein ?) se retrouve à faire "l'école buissonière" autant au sens figuré qu'au sens propre étant donné qu'il sèche son exam mais que finalement il y réfléchit et y répond inconsciemment dans la nature, autrement dit dans les "buissons". Il exprime sur sa copie le goufre qui l'empêche d'avancer malgrès son envie d'oublier et de vivre et y explique que cette souffrance qui le tiraille lui empêche de ressentir tous les maux d'un adolescent classique basique, et lui permet de passer par dessus l'idiotie de son âge, il acquière une mâturité bien plus élevée que ses camarades et son discernement lui permet de repondre surement que ce qui ne l'a pas tué l'a, d'une certaine manière, rendu plus fort. Voila à peu près le message qu j'AURAIS voulu faire passer dans ce film bien que je me doutes bien que ce n'est pas vraiment compréhensible... Il me reste encore des kilometres à faire avant de réussir à capter les emotions sur l'image, à donner des tableaux qui parlent d'eux mêmes.. Mais je suis motivé et je compte bien m'améliorer !!
Théo Loew
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Court métrage