• 8 yıl önce
Pour comprendre ma musique, il faut savoir doù je viens, affirme Ben Harper. Voir la petite ville où jai grandi, la rue où jhabitais, la boutique dinstruments folk que tiennent mes grands-parents, ici, à Claremont. De cette ville californienne où il naît le 28 octobre 1969, aux studios de Los Angeles, en passant par la scène quil habite avec ferveur, le plus jeune des vieux sages nous invite à découvrir sa musique. Une musique métissée, hors mode, faite de folk, de blues, de reggae, de rock et de gospel.\r
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Ce qui se dégage de la longue interview accordée par Ben Harper à Michel Viotte, le réalisateur, cest la sérénité du jeune musicien. Ma démarche nengage que moi, elle est avant tout spirituelle et non politique explique-t-il. Epris de paix, il a consacré une chanson à Rodney King, jeune noir passé à tabac par des policiers de Los Angeles. Il évoque longuement deux de ses idoles, Martin Luther King et Bob Marley.\r
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Des extraits de concerts et des sessions acoustiques rendent évidente la vocation de Ben Harper : La musique mappelle depuis que je suis tout petit. Jai toujours entendu la musique résonner fort dans mon coeur.\r
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