En l'an de grâce 4958
Maman ça y est c’est décidé
Enfin depuis l’temps j’vais me tirer
J’y foutrais plus jamais les pieds, hé hé !
Dans ce trou à rat, ce clapier !
Tu m’as dit « T’as pas dormi
Et je veux pas revivre le clash ! »
Tu sais les Clash, ce que je leur dis
Je leur dis : « - Merci, mais allez voir sur la colline
Si j’y suis… » (Et ils y allèrent)
Refrain
Et j’m’en balance comme de l’an 4958
Si tu m’fous à la porte
Que tu m’la claques à la gueule
Que le crochu m’emporte
Lui, je le bouff’rais bien en amuse, seul.
Car d’ogre j’ai un appétit
Je veux m’goinfrer jusqu’au plus soif.
Et si y avait (Inch’Allah) quelqu’un ici
Qui pourrait dire : « Il a plus rien dans la carafe !
C’est un lousedé, un malade
J’l’ai vu à loilpé dans la rue
Un sourire space et un air bad »
N’import’ nawak, mais qui l’eût cru ?
Refrain
Moi je veux avaler la Terre
L’infini, même le multivers.
J’admire Rimbaud, Zizou, Yahvé du monde !
Les orages au mois d’Août et braver le tonnerre qui gronde !
Il est vrai que quelques fois
Vient me troubler dans mon sommeil
Un rien de bien effrayant toutefois
J’dors souvent sur mes deux oreilles
Refrain
Maman, pourquoi tu t’inquiètes don’ ?
Je vais bien ne t’en fais pas
Pour Chloé, Olive et Adam
Tu t’étais pas mouronnée comme ça
Et si j’pouvais, évidemment
J’envoierai mon home avec moi
Mais déjà qu’on a du mal
A remplir un 6m3 à Brest
Je me vois pas, moi qui détale,
Nulle part ailleurs qu’à l’Est
Rajouter du poids à mon barda
Qui faut par ailleurs que je déleste
Naaan, si j’dis qu’j’m’en balance comme de l’an 4958
Ce n’est qu’une apparence
J’aurais peut-être pas dû partir si vite
Et si le crochu dans sa clémence m’invite
J’attendrai rien de ce dément, ce fou que le mal habite ...
Enfin depuis l’temps j’vais me tirer
J’y foutrais plus jamais les pieds, hé hé !
Dans ce trou à rat, ce clapier !
Tu m’as dit « T’as pas dormi
Et je veux pas revivre le clash ! »
Tu sais les Clash, ce que je leur dis
Je leur dis : « - Merci, mais allez voir sur la colline
Si j’y suis… » (Et ils y allèrent)
Refrain
Et j’m’en balance comme de l’an 4958
Si tu m’fous à la porte
Que tu m’la claques à la gueule
Que le crochu m’emporte
Lui, je le bouff’rais bien en amuse, seul.
Car d’ogre j’ai un appétit
Je veux m’goinfrer jusqu’au plus soif.
Et si y avait (Inch’Allah) quelqu’un ici
Qui pourrait dire : « Il a plus rien dans la carafe !
C’est un lousedé, un malade
J’l’ai vu à loilpé dans la rue
Un sourire space et un air bad »
N’import’ nawak, mais qui l’eût cru ?
Refrain
Moi je veux avaler la Terre
L’infini, même le multivers.
J’admire Rimbaud, Zizou, Yahvé du monde !
Les orages au mois d’Août et braver le tonnerre qui gronde !
Il est vrai que quelques fois
Vient me troubler dans mon sommeil
Un rien de bien effrayant toutefois
J’dors souvent sur mes deux oreilles
Refrain
Maman, pourquoi tu t’inquiètes don’ ?
Je vais bien ne t’en fais pas
Pour Chloé, Olive et Adam
Tu t’étais pas mouronnée comme ça
Et si j’pouvais, évidemment
J’envoierai mon home avec moi
Mais déjà qu’on a du mal
A remplir un 6m3 à Brest
Je me vois pas, moi qui détale,
Nulle part ailleurs qu’à l’Est
Rajouter du poids à mon barda
Qui faut par ailleurs que je déleste
Naaan, si j’dis qu’j’m’en balance comme de l’an 4958
Ce n’est qu’une apparence
J’aurais peut-être pas dû partir si vite
Et si le crochu dans sa clémence m’invite
J’attendrai rien de ce dément, ce fou que le mal habite ...
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