Guillaume Durand : "Le jour où un gaillard fou a voulu me tuer"
http://www.lejdd.fr/Medias/Television/VIDEO-Guillaume-Durand-Le-jour-ou-un-gaillard-fou-a-voulu-me-tuer-758639
Il a côtoyé les grands peintres, les légendes du showbiz et le gotha politique. Dans son livre 'Mémoires d’un arythmique' (éd. Grasset), le journaliste vedette amateur de voitures de sport revisite pied au plancher ses souvenirs.
Parmi les souvenirs que Guillaume Durand évoque dans l’interview qu’il accorde au JDD l’homme au couteau, qui a forgé sa peur "du dingue qui surgit au milieu de la foule" : "J’avais une dizaine d’années. Sur une plage de Belle-Île-en-Mer, où mes parents louaient une espèce de ferme abandonnée, j’ai vu débouler un homme complètement ivre avec un couteau à la main. Je l’avais déjà repéré en descendant à la plage. Il s’est rué vers moi et m’a poursuivi durant plusieurs centaines de mètres. C’est un grand gaillard, genre marin aux yeux de fou. J’ai couru jusque chez mes parents. Mon père était en train de lire sur un transat. 'Papa, il y a un monsieur qui veut me tuer', ai-je crié, affolé. Ne parvenant pas à le convaincre, je me suis réfugié dans la maison. Le fou a débarqué et poignardé mon père à la cuisse. Mes parents possédaient une MGA vert pomme. Mon père a été à l’hôpital de l’île, puis ma mère l’a ramené en urgence vers Paris. La voiture était maculée de sang. Il s’est retrouvé paralysé pendant un an. Et moi, depuis, j’ai la hantise des couteaux et du dingue qui surgit au milieu d’une foule."
Dans le JDD, Durand évoque aussi sa génération, née dans les années 1950, les imitations de Canteloup ("ça m’a valu une image de mondain qui pète dans la soie"), Alain Dorizon, Hélène Hazéra ou encore… Madonna.
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Il a côtoyé les grands peintres, les légendes du showbiz et le gotha politique. Dans son livre 'Mémoires d’un arythmique' (éd. Grasset), le journaliste vedette amateur de voitures de sport revisite pied au plancher ses souvenirs.
Parmi les souvenirs que Guillaume Durand évoque dans l’interview qu’il accorde au JDD l’homme au couteau, qui a forgé sa peur "du dingue qui surgit au milieu de la foule" : "J’avais une dizaine d’années. Sur une plage de Belle-Île-en-Mer, où mes parents louaient une espèce de ferme abandonnée, j’ai vu débouler un homme complètement ivre avec un couteau à la main. Je l’avais déjà repéré en descendant à la plage. Il s’est rué vers moi et m’a poursuivi durant plusieurs centaines de mètres. C’est un grand gaillard, genre marin aux yeux de fou. J’ai couru jusque chez mes parents. Mon père était en train de lire sur un transat. 'Papa, il y a un monsieur qui veut me tuer', ai-je crié, affolé. Ne parvenant pas à le convaincre, je me suis réfugié dans la maison. Le fou a débarqué et poignardé mon père à la cuisse. Mes parents possédaient une MGA vert pomme. Mon père a été à l’hôpital de l’île, puis ma mère l’a ramené en urgence vers Paris. La voiture était maculée de sang. Il s’est retrouvé paralysé pendant un an. Et moi, depuis, j’ai la hantise des couteaux et du dingue qui surgit au milieu d’une foule."
Dans le JDD, Durand évoque aussi sa génération, née dans les années 1950, les imitations de Canteloup ("ça m’a valu une image de mondain qui pète dans la soie"), Alain Dorizon, Hélène Hazéra ou encore… Madonna.
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