Après le pétrole, l’automobile est la deuxième industrie en Iran, avec plus d’un million de salariés directs ou indirects.
L’Iran était l’un des douze principaux constructeurs automobiles au monde, mais très vite, avec les sanctions, la qualité des produits a chuté et la pénurie de pièces détachées a commencé à se faire sentir.
Avec la levée prochaine des sanctions, on s’attend à une hausse des ventes qui devraient dépasser le million de véhicules neufs par an à partir de 2017, pour dépasser les deux millions à partir de 2020.
“Il n’y aura pas d’effet immédiat. Je sais qu’Iran Khodro et Peugeot mènent des négociations constructives et d’autres usines iraniennes avec Renault. Cependant, nous ne pouvons qu’importer des nouveaux produits de ces compagnies. Aucune des deux ne va faire de nouveaux investissements en Iran”, souligne l‘économiste Saeed Leilaz.
L’accord sur le nucléaire à peine signé, des délégations européennes se sont précipitées à Téhéran. Peugeot pourrait bien paye
L’Iran était l’un des douze principaux constructeurs automobiles au monde, mais très vite, avec les sanctions, la qualité des produits a chuté et la pénurie de pièces détachées a commencé à se faire sentir.
Avec la levée prochaine des sanctions, on s’attend à une hausse des ventes qui devraient dépasser le million de véhicules neufs par an à partir de 2017, pour dépasser les deux millions à partir de 2020.
“Il n’y aura pas d’effet immédiat. Je sais qu’Iran Khodro et Peugeot mènent des négociations constructives et d’autres usines iraniennes avec Renault. Cependant, nous ne pouvons qu’importer des nouveaux produits de ces compagnies. Aucune des deux ne va faire de nouveaux investissements en Iran”, souligne l‘économiste Saeed Leilaz.
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