Chacun cherche son Richard III… Pour Nathalie Béasse, il ne s’agit pas de trouver le héros de Shakespeare, mais de s’en amuser, questionner ce qui l’entoure, le faire traverser les corps. Avec sa « famille » de comédiens-danseurs, elle explore l’univers de Richard III.
Richard III incarne le pouvoir tyrannique dans toute sa cruauté et nourrit les fantasmes des artistes depuis la création de la pièce vers 1592. Nathalie Béasse a rencontré Shakespeare il y a 20 ans, il ne l’a plus quittée. « Il nous suit comme un esprit, pour nous accompagner dans d’autres espaces de projection, il nous aide à ouvrir des portes. Il est devant moi, il me barre la route. Alors je décide de m’en emparer, de ne plus avoir peur de ce monstre de verbe, il faut se battre avec lui, pour lui. » Les personnages auront leur objet-symbole… En français ou en anglais… La table sera le champ de bataille de cette histoire.
« Comme dans un film, entendre le texte, pouvoir entrer dans leur intimité, dans leur histoire macabre de famille. Garder la dramaturgie, la narration, mais remplacer parfois le texte par du corps, par des silences, par des espaces vides. »
Après Happy child, Wonderful world et Tout semblait immobile, Nathalie Béasse revisite pour la première fois le répertoire dramatique classique et plonge dans les convulsions de la Guerre des Deux-Roses.
Richard III incarne le pouvoir tyrannique dans toute sa cruauté et nourrit les fantasmes des artistes depuis la création de la pièce vers 1592. Nathalie Béasse a rencontré Shakespeare il y a 20 ans, il ne l’a plus quittée. « Il nous suit comme un esprit, pour nous accompagner dans d’autres espaces de projection, il nous aide à ouvrir des portes. Il est devant moi, il me barre la route. Alors je décide de m’en emparer, de ne plus avoir peur de ce monstre de verbe, il faut se battre avec lui, pour lui. » Les personnages auront leur objet-symbole… En français ou en anglais… La table sera le champ de bataille de cette histoire.
« Comme dans un film, entendre le texte, pouvoir entrer dans leur intimité, dans leur histoire macabre de famille. Garder la dramaturgie, la narration, mais remplacer parfois le texte par du corps, par des silences, par des espaces vides. »
Après Happy child, Wonderful world et Tout semblait immobile, Nathalie Béasse revisite pour la première fois le répertoire dramatique classique et plonge dans les convulsions de la Guerre des Deux-Roses.
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