Les Landes c’est la plus grande forêt cultivée d’Europe : un million d’hectares de pins maritimes. Mais avant les pins, il y avait une vaste étendue humide : La lande.
Notre première destination est l’écomusée de Marquèze qui restitue l’habitat traditionnel landais : l’Airial.
Vanessa Doutreleau, responsable scientifique de l’écomusée évoque la métamorphose de ce territoire. Comment au 19ème siècle les hommes décident de changer un paysage de lande en immense plantation d’arbres et de faire ainsi basculer une société agropastorale en la propulsant dans une société d’économie de marché, dont l’objet de toutes les spéculations devint le pin maritime grâce à la récolte de la résine, la gemme. Jacqueline Lacommère ancienne résinière raconte et perpétue les gestes anciens pour récolter cette gemme.
Pour imaginer ce que furent ces landes anciennes, Gilles Granereau de l’ONF, nous fait pénétrer dans le camp militaire de Captieux. Là depuis quelques temps, la réintroduction d’un troupeau de brebis permet de renouer avec le passé.
Les échassiers Landais « Lous Gouyats de l’Adour » font aussi le temps d’une course découvrir cette tradition unique et ses évolutions.
Les cercles ouvriers et celui de Labrit qui nous accueille le temps d’une soirée sont aussi une pure émanation landaise. Guy Juzan, ancien président du cercle de Labrit, nous raconte l’esprit de ces lieux de convivialité.
Aujourd’hui les pins sont utilisés pour leur bois. A Préchac, Jean-François Labrousse est scieur de père en fils. Il nous dévoile lors de la visite de son entreprise, les qualités et les utilisations de ce bois.
Notre première destination est l’écomusée de Marquèze qui restitue l’habitat traditionnel landais : l’Airial.
Vanessa Doutreleau, responsable scientifique de l’écomusée évoque la métamorphose de ce territoire. Comment au 19ème siècle les hommes décident de changer un paysage de lande en immense plantation d’arbres et de faire ainsi basculer une société agropastorale en la propulsant dans une société d’économie de marché, dont l’objet de toutes les spéculations devint le pin maritime grâce à la récolte de la résine, la gemme. Jacqueline Lacommère ancienne résinière raconte et perpétue les gestes anciens pour récolter cette gemme.
Pour imaginer ce que furent ces landes anciennes, Gilles Granereau de l’ONF, nous fait pénétrer dans le camp militaire de Captieux. Là depuis quelques temps, la réintroduction d’un troupeau de brebis permet de renouer avec le passé.
Les échassiers Landais « Lous Gouyats de l’Adour » font aussi le temps d’une course découvrir cette tradition unique et ses évolutions.
Les cercles ouvriers et celui de Labrit qui nous accueille le temps d’une soirée sont aussi une pure émanation landaise. Guy Juzan, ancien président du cercle de Labrit, nous raconte l’esprit de ces lieux de convivialité.
Aujourd’hui les pins sont utilisés pour leur bois. A Préchac, Jean-François Labrousse est scieur de père en fils. Il nous dévoile lors de la visite de son entreprise, les qualités et les utilisations de ce bois.
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