Orange Mécanique - scène lavage de cerveau reformatage [HD] (fr)

  • il y a 9 ans
Scène culte du traitement que reçoit Alex DeLarge pour endiguer ses excès de violences.

Extrait de synopsis :

Deux ans plus tard, le ministre de l'Intérieur (Anthony Sharp (en)) effectue une visite dans la prison et cherche des volontaires pour expérimenter la « Technique Ludovico (en) ». Pour sortir de prison, Alex se porte volontaire pour tester cette thérapie révolutionnaire, financée par le gouvernement dans le cadre d'un programme expérimental d'éradication de la délinquance d'une durée de deux semaines. Le traitement est fondé sur un principe semblable à celui des réflexes de Pavlov, consistant en une thérapie par aversion. Il s'agit d'amener Alex, attaché à un fauteuil avec un appareillage qui le force à avoir les yeux ouverts, à associer certains stimuli (des scènes de violence ou de sexe projetées sur un écran qu'il est forcé de regarder) aux douleurs provoquées par les drogues qu'on lui administre au cours de ce traitement. Lors d'une des séances est projetée une série de scènes de l'Allemagne nazie dont la bande-son est la Symphonie nº 9 de Beethoven, ce qui va paradoxalement transformer son admiration pour ce chef-d'œuvre en une profonde aversion, montrant l'évidente efficacité du traitement.

Après deux semaines de la technique Ludovico, le ministre de l'Intérieur organise une démonstration pour prouver qu'Alex est « guéri ». On le voit être incapable de riposter à l'attaque d'un acteur (John Clive (en)) qui en plus l'insulte. Puis il devient malade à la vue d'une femme seins nus (Virginia Wetherell (en)). Bien que l'aumônier de la prison (Godfrey Quigley (en)) proteste et dit « qu'il n'y a pas de moralité sans choix », le directeur de la prison lui explique qu'ils ne sont pas intéressés par les questions d'éthique ou philosophiques mais seulement par « le souci d'enrayer les crimes »