Conversation(s)
Travail sonore et visuel autour du livre de Jean Christophe Bailly "le parti pris des animaux"
En particulier l'idée de compréhension et d'incompréhension, de langage, de communication et de dialogue avec l'animal, selon nos ressentis, nos interprétations. Le visible et l'invisible, le lisible et l'illisible. A l'image, des scènes où l'on entend mais on ne voit pas ces animaux, on attend de les voir mais tout ce qui se passe est dans nos oreilles.Dans ce brouhaha on entend quelques mots que l'on perçoit et que l'on connaît mais il est impossible d'en définir le sens exact.
Ces textes sont des histoires personnelles qui racontent des expériences à priori banales avec l'animal (ici les pigeons de Manhattan, mon chat, un bourdon)qui ont toutes le même point en commun : le quiproquo.
Cette sculpture sonore est présentée dans une boite cubique en plâtre et en bois, où une forme de visage nous invite, seul, à tenter de dialoguer et de converser avec cet autre.
Janvier 2015 - Dans le cadre de l'école des Beaux Arts de Montpellier
En particulier l'idée de compréhension et d'incompréhension, de langage, de communication et de dialogue avec l'animal, selon nos ressentis, nos interprétations. Le visible et l'invisible, le lisible et l'illisible. A l'image, des scènes où l'on entend mais on ne voit pas ces animaux, on attend de les voir mais tout ce qui se passe est dans nos oreilles.Dans ce brouhaha on entend quelques mots que l'on perçoit et que l'on connaît mais il est impossible d'en définir le sens exact.
Ces textes sont des histoires personnelles qui racontent des expériences à priori banales avec l'animal (ici les pigeons de Manhattan, mon chat, un bourdon)qui ont toutes le même point en commun : le quiproquo.
Cette sculpture sonore est présentée dans une boite cubique en plâtre et en bois, où une forme de visage nous invite, seul, à tenter de dialoguer et de converser avec cet autre.
Janvier 2015 - Dans le cadre de l'école des Beaux Arts de Montpellier