Diffusé dans le cadre du Monde en face, le documentaire Élevage intensif : attention, danger ! est proposé sur France 5.
Aujourd’hui, plus de 80% des poulets, poules, cochons, lapins consommés vivent entassés dans des bâtiments clos, dans des cages ou sur caillebotis, sans jamais voir la lumière naturelle. Jusqu’ici épargnés, les bovins risquent bientôt de connaître le même destin. C’est en partant de ce postulat que la réalisatrice Frédérique Mergey a entrepris son enquête.
Celle-ci s’est notamment intéressée au projet de la première ferme de 1000 vaches de France dans la Somme. Une unité de production de lait intensive, où les vaches sont amenées à vivre de manière confinée, loin des prairies. Une « fermeusine », selon les opposants au projet, où l’animal est considéré comme une machine à produire du lait, mais aussi de l’électricité, grâce à ses déjections qui seront recyclées dans un énorme « méthaniseur »
Peu connu du grand public, l’élevage intensif des vaches laitières est devenu la norme un peu partout dans le monde, particulièrement aux États-Unis. Là-bas, les fermes peuvent concentrer plus de 30 000 bêtes, produisant en masse du lait bon marché. En Californie, plus de 80 % des vaches sont élevées hors pâturage, avec parfois des conséquences désastreuses : Maltraitance animale, pollution de l’air ou des nappes phréatiques… Aux États-Unis, la réalisatrice s’est rendue dans ces fermes géantes. Elle a ainsi interrogé éleveurs, consommateurs, militants, qui peuvent, aujourd’hui, juger avec plus de recul la pertinence de ce modèle d’élevage
À noter qu’après la diffusion d’Élevage intensif :attention, danger !, Marina Carrère d’Encausse s’entretiendra avec deux spécialistes de la question abordée.
Aujourd’hui, plus de 80% des poulets, poules, cochons, lapins consommés vivent entassés dans des bâtiments clos, dans des cages ou sur caillebotis, sans jamais voir la lumière naturelle. Jusqu’ici épargnés, les bovins risquent bientôt de connaître le même destin. C’est en partant de ce postulat que la réalisatrice Frédérique Mergey a entrepris son enquête.
Celle-ci s’est notamment intéressée au projet de la première ferme de 1000 vaches de France dans la Somme. Une unité de production de lait intensive, où les vaches sont amenées à vivre de manière confinée, loin des prairies. Une « fermeusine », selon les opposants au projet, où l’animal est considéré comme une machine à produire du lait, mais aussi de l’électricité, grâce à ses déjections qui seront recyclées dans un énorme « méthaniseur »
Peu connu du grand public, l’élevage intensif des vaches laitières est devenu la norme un peu partout dans le monde, particulièrement aux États-Unis. Là-bas, les fermes peuvent concentrer plus de 30 000 bêtes, produisant en masse du lait bon marché. En Californie, plus de 80 % des vaches sont élevées hors pâturage, avec parfois des conséquences désastreuses : Maltraitance animale, pollution de l’air ou des nappes phréatiques… Aux États-Unis, la réalisatrice s’est rendue dans ces fermes géantes. Elle a ainsi interrogé éleveurs, consommateurs, militants, qui peuvent, aujourd’hui, juger avec plus de recul la pertinence de ce modèle d’élevage
À noter qu’après la diffusion d’Élevage intensif :attention, danger !, Marina Carrère d’Encausse s’entretiendra avec deux spécialistes de la question abordée.
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