Manifestation à Bayonne le 15 fevrier 2014 pour le respect des droits des prisonnier-e-s basques!
Manifestation organisée par ETXERAT pour le respect des droits des prisonnier-e-s
et des exilé-e-s politiques basques!
Il y a aujourd'hui 523 prisonniers politiques basques, dont 113 en France. Parmi eux, un certain nombre sont très gravement malades, comme Ibon Fernandez Iradi à la prison de Lannemezan. D'autres condamnés à la perpétuité, comme Jakes Esnal, Jon Kepa Parot, Frederik Haranburu et Mikel Karrera, eux aussi dans des prisons françaises. Et tous sont dispersés, avec toutes les graves conséquences que comporte cette mesure :
· les morts sur les routes (16 depuis la mise en place de la dispersion !) et les centaines d'accidents
· les énormes dégâts économiques, physiques et moraux pour les familles
· les morts en prison (encore trois en moins d'un an avec la mort hier du prisonnier Arkaitz Bellón !)
· les agressions envers les familles lors des visites à des prisons très éloignées d'Euskal Herria
· les agressions en prison : situations d'isolement, mauvais traitements, sanctions arbitraires, suivi médical impossible, doit à la défense piétiné, etc…
Avec la fin des mesures d'exception appliquées aux prisonniers basques, nous ne vivrions plus de telles situations. Prendre le chemin de cette justice-là repose dans une grande mesure sur Christiane Taubira et son gouvernement. Ils peuvent résoudre rapidement les cas les plus graves, car il s'agit simplement de garantir les droits essentiels. La balle est dans leur camp, qu'ils la prennent enfin !
et des exilé-e-s politiques basques!
Il y a aujourd'hui 523 prisonniers politiques basques, dont 113 en France. Parmi eux, un certain nombre sont très gravement malades, comme Ibon Fernandez Iradi à la prison de Lannemezan. D'autres condamnés à la perpétuité, comme Jakes Esnal, Jon Kepa Parot, Frederik Haranburu et Mikel Karrera, eux aussi dans des prisons françaises. Et tous sont dispersés, avec toutes les graves conséquences que comporte cette mesure :
· les morts sur les routes (16 depuis la mise en place de la dispersion !) et les centaines d'accidents
· les énormes dégâts économiques, physiques et moraux pour les familles
· les morts en prison (encore trois en moins d'un an avec la mort hier du prisonnier Arkaitz Bellón !)
· les agressions envers les familles lors des visites à des prisons très éloignées d'Euskal Herria
· les agressions en prison : situations d'isolement, mauvais traitements, sanctions arbitraires, suivi médical impossible, doit à la défense piétiné, etc…
Avec la fin des mesures d'exception appliquées aux prisonniers basques, nous ne vivrions plus de telles situations. Prendre le chemin de cette justice-là repose dans une grande mesure sur Christiane Taubira et son gouvernement. Ils peuvent résoudre rapidement les cas les plus graves, car il s'agit simplement de garantir les droits essentiels. La balle est dans leur camp, qu'ils la prennent enfin !
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