Débat Domerat & Montluçon 3/7
- il y a 17 ans
(24 janvier 2007) partie 3 sur 7
Ségolène Royal : intégrale du débat de Domerat / Montluçon
Source: Désirs d'avenir
AVEC NICOLAS SARKOZY :
LE PIRE EST A VENIR
Il a dit :
« Je propose que les heures supplémentaires soient
exonérées de charges sociales et même d’impôts
parce que tout le monde y gagnera. »
(Discours de N. Sarkozy à Charleville-Mézières le 18/12/06)
Cette proposition revient à favoriser dans les entreprises les heures supplémentaires
plutôt que l’embauche. Ses conséquences sur l’emploi
seraient donc catastrophiques et notamment pour les jeunes. À certains
on imposerait de travailler plus, quand d’autres ne pourraient pas
travailler du tout.
Il a dit :
« Lorsqu'il y a un conflit et une grève, dans une
entreprise, une université ou une administration,
la loi doit prévoir que, dans les huit jours,
soit organisé un vote à bulletins secrets pour
en finir avec la dictature de certaines minorités. »
(Université d’été du Medef, Jouy-en-Josas le 31/08/06)
Il s’agit d’une remise en cause du droit grève, qui appartient à chaque
salarié. C’est aussi une aberration, puisque les salariés non-grévistes
minoritaires seraient obligés de cesser le travail.
Ségolène Royal : intégrale du débat de Domerat / Montluçon
Source: Désirs d'avenir
AVEC NICOLAS SARKOZY :
LE PIRE EST A VENIR
Il a dit :
« Je propose que les heures supplémentaires soient
exonérées de charges sociales et même d’impôts
parce que tout le monde y gagnera. »
(Discours de N. Sarkozy à Charleville-Mézières le 18/12/06)
Cette proposition revient à favoriser dans les entreprises les heures supplémentaires
plutôt que l’embauche. Ses conséquences sur l’emploi
seraient donc catastrophiques et notamment pour les jeunes. À certains
on imposerait de travailler plus, quand d’autres ne pourraient pas
travailler du tout.
Il a dit :
« Lorsqu'il y a un conflit et une grève, dans une
entreprise, une université ou une administration,
la loi doit prévoir que, dans les huit jours,
soit organisé un vote à bulletins secrets pour
en finir avec la dictature de certaines minorités. »
(Université d’été du Medef, Jouy-en-Josas le 31/08/06)
Il s’agit d’une remise en cause du droit grève, qui appartient à chaque
salarié. C’est aussi une aberration, puisque les salariés non-grévistes
minoritaires seraient obligés de cesser le travail.