Sophie Photographe
@sophiephotographe
Les Animaux dans les rues de Paris, par Sophie, photographe.
« Depuis le printemps 2010, mes animaux ont envahi les rues de Paris… Je m’approprie les murs, les portes, les bouches d’aération, en y collant
mes photos d’animaux afin de créer un univers poétique et intemporel sur les murs de Paris.
Mes « créations » expriment la liberté, un subtil mélange de légèreté et de gravité, d’insouciance, de provocation, et d’humour. Mes petites, et grosses bêtes, surgissent des murs pour vous observer, étrangement paisibles … »
J’aime travailler sous forme d’« Installation ». C’est une volonté de fusion entre l’art et la vie. J’ évite ainsi la mise en distance du spectateur, en lui proposant un art qui se veut opérant dans la vie quotidienne. Mon collage fonctionne comme signal, ou comme instrument d’optique, interpellant le spectateur en lui proposant un regard nouveau sur un lieu connu, par un dispositif qui modifie les conditions de perception.
Cette série nous interroge directement sur la place des animaux au sein de notre société, repositionner leurs images dans notre quotidien est un acte militant qui permet de penser un peu plus à leur condition d’être vivant. Comme si les animaux revenaient hanter nos villes pour constater ce que nous avons fait de ces cités urbaines d’où nous les
avons chassés, à l’image de ce buffle qui nous défie du regard au milieu d’un inquiétant entrelacs de rails….
Les expositions institutionnelles, ou en galerie, sont pour moi le développement logique de mon travail. Ce que l’on peut voir dans la rue n’est qu’une partie de ma production, car je mêle dans mon œuvre les
supports pérennes et les interventions éphémères.
« Depuis le printemps 2010, mes animaux ont envahi les rues de Paris… Je m’approprie les murs, les portes, les bouches d’aération, en y collant
mes photos d’animaux afin de créer un univers poétique et intemporel sur les murs de Paris.
Mes « créations » expriment la liberté, un subtil mélange de légèreté et de gravité, d’insouciance, de provocation, et d’humour. Mes petites, et grosses bêtes, surgissent des murs pour vous observer, étrangement paisibles … »
J’aime travailler sous forme d’« Installation ». C’est une volonté de fusion entre l’art et la vie. J’ évite ainsi la mise en distance du spectateur, en lui proposant un art qui se veut opérant dans la vie quotidienne. Mon collage fonctionne comme signal, ou comme instrument d’optique, interpellant le spectateur en lui proposant un regard nouveau sur un lieu connu, par un dispositif qui modifie les conditions de perception.
Cette série nous interroge directement sur la place des animaux au sein de notre société, repositionner leurs images dans notre quotidien est un acte militant qui permet de penser un peu plus à leur condition d’être vivant. Comme si les animaux revenaient hanter nos villes pour constater ce que nous avons fait de ces cités urbaines d’où nous les
avons chassés, à l’image de ce buffle qui nous défie du regard au milieu d’un inquiétant entrelacs de rails….
Les expositions institutionnelles, ou en galerie, sont pour moi le développement logique de mon travail. Ce que l’on peut voir dans la rue n’est qu’une partie de ma production, car je mêle dans mon œuvre les
supports pérennes et les interventions éphémères.