Douglas harding et la vision sans tête
Extrait de quelques minutes issu du site http://www.baglis.tv
Douglas Harding est un maître spirituel anglais (1909-2007) peu connu en France. Né à Suffolk dans une secte chrétienne fondamentaliste, il décide de découvrir la vie par lui-même et quitte à l’âge de vingt-et-un ans son milieu familial. Ce parcours le portera plus tard à exhorter ses auditeurs à mettre en doute toute forme de système de croyance et à expérimenter par eux-mêmes ce qu’ils nomment réalité.
Il devient par la suite un architecte prospère mais son réel intérêt reste la quête du Soi. « Qui suis-je ? », voilà la question principielle à laquelle Harding veut donner une réponse. Il réalise que l’individu qui se sent souvent séparé, voire isolé, est contenu à l’intérieur d’une hiérarchie complexe, une multitude d’enveloppes successives qui vont de la plus infime cellule de notre corps aux galaxies du cosmos. Mais la question fondamentale demeure : « Qui se trouve au centre de toutes ses enveloppes ? ».
A trente trois ans, Douglas Harding tombe sur un dessin du philosophe Ernst Mach qui représente un homme allongé sur un divan dans la perspective de ses propres yeux. Donc un homme sans tête. C’est la révélation ! « Le plus beau jour de ma vie, ma nouvelle naissance en quelque sorte, fut le jour où je découvris que je n’avais pas de tête », ainsi Douglas Harding décrit son éveil dans son livre « On having no head ».
Pour accéder à cet enregistrement, allez sur
http://www.baglis.tv/philosophie-video/mystique/1574-douglas-harding-vision-sans-tete.html
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Douglas Harding est un maître spirituel anglais (1909-2007) peu connu en France. Né à Suffolk dans une secte chrétienne fondamentaliste, il décide de découvrir la vie par lui-même et quitte à l’âge de vingt-et-un ans son milieu familial. Ce parcours le portera plus tard à exhorter ses auditeurs à mettre en doute toute forme de système de croyance et à expérimenter par eux-mêmes ce qu’ils nomment réalité.
Il devient par la suite un architecte prospère mais son réel intérêt reste la quête du Soi. « Qui suis-je ? », voilà la question principielle à laquelle Harding veut donner une réponse. Il réalise que l’individu qui se sent souvent séparé, voire isolé, est contenu à l’intérieur d’une hiérarchie complexe, une multitude d’enveloppes successives qui vont de la plus infime cellule de notre corps aux galaxies du cosmos. Mais la question fondamentale demeure : « Qui se trouve au centre de toutes ses enveloppes ? ».
A trente trois ans, Douglas Harding tombe sur un dessin du philosophe Ernst Mach qui représente un homme allongé sur un divan dans la perspective de ses propres yeux. Donc un homme sans tête. C’est la révélation ! « Le plus beau jour de ma vie, ma nouvelle naissance en quelque sorte, fut le jour où je découvris que je n’avais pas de tête », ainsi Douglas Harding décrit son éveil dans son livre « On having no head ».
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