Rencontre "Perméabilité au vivant des infrastructures de transport" (07/06/2016). Présentation sur le thème "Perméabilité des ouvrages hydrauliques" par Astrid MOREL, ONEMA.
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L’Île-de-France est la région la plus peuplée de France et poursuit un développement très important en particulier dans la grande couronne parisienne du fait de l’augmentation de la population et surtout du développement de l’habitat individuel et des zones d’activités. Ce phénomène est à l’origine d’une consommation importante de foncier agricole et naturel, du mitage de ces espaces et contribue de manière considérable à la fragmentation des milieux. Il s’accompagne d’un développement conséquent des réseaux d’infrastructures de transport (routes, voies ferrées, canaux, lignes électriques, gazoducs, aqueducs…) qui accentue et aggrave les effets de coupure. La situation est telle que les activités humaines influencent aujourd’hui très largement les capacités de dispersion des espèces sur une part majeure du territoire francilien, y compris au sein des entités agricoles ou naturelles les plus vastes qui se retrouvent sillonnées par divers ouvrages.
Natureparif, l’Etat et la Région Île-de-France ont organisé le 7 juin 2016 une journée d’exposés, d’échanges et de débats pour présenter l’état des connaissances sur les éléments fragmentants du territoire francilien et leurs effets d’obstacle à la dispersion des espèces, et pour montrer à travers des exemples et solutions techniques qu’il est possible de rendre perméables au vivant les infrastructures de transport par l’aménagement de passage à faune de taille et de forme variées.
Cette journée participait du plan d’action du Schéma régional de Cohérence écologique de la région Île-de-France, co-porté par l’Etat et la Région avec l’appui scientifique et technique de Natureparif.
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L’Île-de-France est la région la plus peuplée de France et poursuit un développement très important en particulier dans la grande couronne parisienne du fait de l’augmentation de la population et surtout du développement de l’habitat individuel et des zones d’activités. Ce phénomène est à l’origine d’une consommation importante de foncier agricole et naturel, du mitage de ces espaces et contribue de manière considérable à la fragmentation des milieux. Il s’accompagne d’un développement conséquent des réseaux d’infrastructures de transport (routes, voies ferrées, canaux, lignes électriques, gazoducs, aqueducs…) qui accentue et aggrave les effets de coupure. La situation est telle que les activités humaines influencent aujourd’hui très largement les capacités de dispersion des espèces sur une part majeure du territoire francilien, y compris au sein des entités agricoles ou naturelles les plus vastes qui se retrouvent sillonnées par divers ouvrages.
Natureparif, l’Etat et la Région Île-de-France ont organisé le 7 juin 2016 une journée d’exposés, d’échanges et de débats pour présenter l’état des connaissances sur les éléments fragmentants du territoire francilien et leurs effets d’obstacle à la dispersion des espèces, et pour montrer à travers des exemples et solutions techniques qu’il est possible de rendre perméables au vivant les infrastructures de transport par l’aménagement de passage à faune de taille et de forme variées.
Cette journée participait du plan d’action du Schéma régional de Cohérence écologique de la région Île-de-France, co-porté par l’Etat et la Région avec l’appui scientifique et technique de Natureparif.
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