C'est sur RLHD.TV et certainement ailleurs.
L'aventure est une fête dansée. "Le Grand Bal" le dernier film de Lætitia Carton est une réussite sociale (sortie nationale le 31 octobre).
Le plaisir, sinon de danser, au moins de voir ceux qui ont le courage de fouler le parquet. Il n'est pas si simple de se donner en spectacle. Mais ici, point de réprimande. La danse est un acte corporel. Tout le film virevolte, nous plongeant dans ce plaisir rare qu'est la fête populaire, comme aujourd'hui c'est primordiale.
La caméra de Lætitia nous prend à témoin. C'est toute la subjectivité de l'objectif. Une affaire entendue.
La réalisatrice nous propose bien plus d'un "bal trad"... Bien plus. Elle réussit cette symbiose entre le spectateur et l'image projetée. On a envie de vivre le bal populaire comme autant de revendications sociale. ils sont nombreux en bord de grèves à penser qu'une java ou un tango peut changer le monde.
Il y a dans ce film quelque chose qui ressemble à la fête de la Fédération. Qu'il est beau de filmer le peuple qui s'amuse... La danse devient alors un langage républicain... Ou les corps ne font plus qu'un, même dans la difficulté. Peu importe, l'acte de danser, filmer par Lætitia Carton est une belle entreprise, joyeuse et sociale.Et croyez-moi par les temps qui courent ce n'est pas une simple affaire de pas de deux.
L'aventure est une fête dansée. "Le Grand Bal" le dernier film de Lætitia Carton est une réussite sociale (sortie nationale le 31 octobre).
Le plaisir, sinon de danser, au moins de voir ceux qui ont le courage de fouler le parquet. Il n'est pas si simple de se donner en spectacle. Mais ici, point de réprimande. La danse est un acte corporel. Tout le film virevolte, nous plongeant dans ce plaisir rare qu'est la fête populaire, comme aujourd'hui c'est primordiale.
La caméra de Lætitia nous prend à témoin. C'est toute la subjectivité de l'objectif. Une affaire entendue.
La réalisatrice nous propose bien plus d'un "bal trad"... Bien plus. Elle réussit cette symbiose entre le spectateur et l'image projetée. On a envie de vivre le bal populaire comme autant de revendications sociale. ils sont nombreux en bord de grèves à penser qu'une java ou un tango peut changer le monde.
Il y a dans ce film quelque chose qui ressemble à la fête de la Fédération. Qu'il est beau de filmer le peuple qui s'amuse... La danse devient alors un langage républicain... Ou les corps ne font plus qu'un, même dans la difficulté. Peu importe, l'acte de danser, filmer par Lætitia Carton est une belle entreprise, joyeuse et sociale.Et croyez-moi par les temps qui courent ce n'est pas une simple affaire de pas de deux.
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🎥
Court métrage