• il y a 7 ans
Il est le plus grand donateur humanitaire de l’Histoire
C’est peu après la naissance de sa fille Maxima que Zuckerberg l’a annoncé : il compte distribuer 99 % de sa fortune à des fins humanitaires !
Très tôt, il a été clair, au travers de son mode de vie ‘minimaliste’ que Zuckerberg n’était pas motivé par l’argent. Et au fil des années, il est apparu qu’il comptait dédier cette fortune à pouvoir influencer le monde positivement. Il pourrait être tenté par une carrière gouvernementale. S’il est jamais élu, il se situerait à l’opposé de Donald Trump sur l’échiquier politique.
Le modèle de Zuckerberg ce ne sont pas les grandes réussites financières américaines telles que Warren Buffet, les Bill Gates ou encore la famille Walton (qui gère la chaîne Wal-Mart). Dans son panthéon, on trouverait davantage des gens comme Gandhi, César Chavez, Kennedy ou Mandela. Des personnalités qui ont marqué l’Histoire et dont les peuples ont conservé une mémoire affectionnée.
Comment cela se traduit-il pour Zuckerberg ? Notamment par une volonté, au travers de sa fondation, de pouvoir éradiquer toutes les maladies existantes, grâce à une analyse de l’ADN et la possibilité de prévenir les infections avant même qu’elles ne se produisent.
S’il est un aspect qui fait de Zuckerberg un personnage hors du commun, c’est clairement celui-ci.

3. Il a longtemps snobé la publicité
Aux débuts de Facebook, en 2004, Eduardo Saverin, qui avait investi 1 000 dollars pour payer les serveurs hébergeant le site, a commencé à démarché diverses firmes afin qu’elles affichent des publicités sur les pages.
Au départ, Zuckerberg a vu cela péjorativement et s’est même montré gêné. Mal à l’aise, il va jusqu’à poster un texte disant qu’il n’apprécie guère ces publicités mais que « elles nous permettent de payer les factures ».
Quelques mois plus tard, Saverin suggère une mise à jour : il voudrait que, lorsque l’on demande à un autre d’être son ami, la réponse ne soit pas instantanée, et que Facebook affiche une publicité à l’utilisateur. Zuckerberg se déclare outré par cette proposition.
Par la suite, lorsqu’il est suggéré d’afficher des publicités ‘pop-up’ comme on en voit fleurir sur d’autres sites, il y met son veto : elles ont pour défaut de recouvrir temporairement l’écran. Et presque chaque fois qu’il lui est proposé d’ajouter davantage d’espace pour la publicité, il s’y oppose.
Pourtant, au fil des années, Zuckerberg va devoir se rendre à l’évidence : il lui faut faire avec la publicité. Et c’est ce qui va l’amener à devenir de plus en plus leste au niveau de la vie privée, car les données individuelles servent d’appât auprès des annonceurs qui disposent d’un ciblage ultra précis.
En 2008, première évolution, Zuckerberg embauche Sheryl Sandberg, l’une des artisanes du succès de Google avec leurs mots-clés publicitaires. Pourtant, il n’est pas encore totalement acquis à la cause.
Il faudra attendre 2012, pour que les responsables de la publicité, alors relégués dans un bâtiment externe

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