Marian Adréani
@marian-adreani-officiel
D'origine Rom, Marian Adréani est né en 1989 en
Roumanie. Nourrisson, déposé dans un hôpital, puis transféré dans un orphelinat à Craiova, il est adopté en
1991 et vit depuis en France. Son grand-père Lucien Adréani était ferronnier d'art, peintre et sculpteur (1920-
1991).
Il commence la photographie à 13 ans: il fait poser ses parents, ses amis, puis les inconnus dans la rue.
Marian s’approprie une famille imaginaire par le moyen de la photographie: il promène partout son oeil. Derrière
son objectif, il prend la liberté de choisir les membres de sa généalogie fictive.
En 2008, il réalise son premier reportage photographique en Roumanie, exposé l'année suivante
à Aix-en-Pce.
Marian choisit de se consacrer au portrait : mis en scène ou mis à nu, célébrités ou inconnus, amis, famille
ou anonymes, un objectif: extraire le contenu de la cervelle et l'appliquer sur le visage. Sans complaisance ni sensiblerie, il fait les portraits de Jane Birkin, Daniel Auteuil, ou Fabrice Luchini.
Protocole ou improvisation, réflexion ou instinct, il rencontre Salman Rushdie, Edgar Morin, Jeanne Moreau, Michel Del Castillo ou encore Tahar Ben Jalloun qui prennent la pose.
Il rencontre des artistes singuliers comme Andrzej Zulawski, Agnès Varda, Zouzou la twisteuse ou Anouk Grinberg dont il expose les portraits à plusieurs occasions. Il ne s’éloigne pas pour autant du reportage,et visite régulièrement des camps de Roms.
Il vit et travaille entre Marseille et Paris
Roumanie. Nourrisson, déposé dans un hôpital, puis transféré dans un orphelinat à Craiova, il est adopté en
1991 et vit depuis en France. Son grand-père Lucien Adréani était ferronnier d'art, peintre et sculpteur (1920-
1991).
Il commence la photographie à 13 ans: il fait poser ses parents, ses amis, puis les inconnus dans la rue.
Marian s’approprie une famille imaginaire par le moyen de la photographie: il promène partout son oeil. Derrière
son objectif, il prend la liberté de choisir les membres de sa généalogie fictive.
En 2008, il réalise son premier reportage photographique en Roumanie, exposé l'année suivante
à Aix-en-Pce.
Marian choisit de se consacrer au portrait : mis en scène ou mis à nu, célébrités ou inconnus, amis, famille
ou anonymes, un objectif: extraire le contenu de la cervelle et l'appliquer sur le visage. Sans complaisance ni sensiblerie, il fait les portraits de Jane Birkin, Daniel Auteuil, ou Fabrice Luchini.
Protocole ou improvisation, réflexion ou instinct, il rencontre Salman Rushdie, Edgar Morin, Jeanne Moreau, Michel Del Castillo ou encore Tahar Ben Jalloun qui prennent la pose.
Il rencontre des artistes singuliers comme Andrzej Zulawski, Agnès Varda, Zouzou la twisteuse ou Anouk Grinberg dont il expose les portraits à plusieurs occasions. Il ne s’éloigne pas pour autant du reportage,et visite régulièrement des camps de Roms.
Il vit et travaille entre Marseille et Paris