jean CARLIER
@CARLIERI
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Au fond de votre oubli je reviendrais vous voir
Vous dire que je suis là, je ne suis pas parti
Que ce n’est pas parce que, on ne peut plus me voir
Que j’ai perdu de moi toutes les réparties.
Je viendrais vous redire combien je vous aimais
A vous qui certains jours ne pensiez plus à moi
Vous qui juriez pourtant ne m’oublier jamais
Lorsqu’à l’enterrement vous lâchiez vos émois.
Vous le pensiez c’est sûr et puis le temps et l’âge
A fait qu’en vos esprits je suis un disparu
Ce pauvre être sur qui à la vue d’une image
Vous dites que les maux vous n'avez jamais cru.
Vous pensez que bien mort je n’entends rien de vous
Et pourtant me voici je reviens dans vos nuits
Et ce n’est pas l’envie qui manque je l’avoue
De venir vous causer de merveilleux ennuis.
Venir dire vos fautes en les rêves profonds
De la tendre compagne qui dort à vos côtés
J’y pense quelques fois mais me dit dans le fond
Que le temps donnera ce que vous méritez.
Je voudrais rappeler que mon temps sur la terre
A été parfois triste en vie de solitude
Parce que vous critiquiez alors mon caractère
Héritage transmis j’en ai la certitude.
Je pourrai me venger, je pourrai faire du mal
Mais du lieu où je suis-je n’en ai plus envie
Je veux vivre ma mort de façon très normale
Et puis tant pis si vous, vous ratez votre vie.
L’éternel n’est point, on se retrouvera
Et en toute quiétude alors nous parlerons
On reverra le temps, on se reparlera
De ces tristes instants où rien ne tournait rond.
Du fond de votre oubli, à l’instant du réveil
Vous aurez mon image, en rêve, en cauchemar
Et ouvrant la fenêtre vous fixerez le ciel
En me cherchant là haut si j’y suis par hasard.
Je peux dire que le morts ne sont jamais bien loin
Et s’ils étaient méchants tout cela se saurait
Ils sont là pour aider si vous avez besoin
Où pour écrire les mots que je viens d’étirer.
Au fond de votre oubli je reviendrais vous voir
Vous dire que je suis là, je ne suis pas parti
Que ce n’est pas parce que, on ne peut plus me voir
Que j’ai perdu de moi toutes les réparties.
Je viendrais vous redire combien je vous aimais
A vous qui certains jours ne pensiez plus à moi
Vous qui juriez pourtant ne m’oublier jamais
Lorsqu’à l’enterrement vous lâchiez vos émois.
Vous le pensiez c’est sûr et puis le temps et l’âge
A fait qu’en vos esprits je suis un disparu
Ce pauvre être sur qui à la vue d’une image
Vous dites que les maux vous n'avez jamais cru.
Vous pensez que bien mort je n’entends rien de vous
Et pourtant me voici je reviens dans vos nuits
Et ce n’est pas l’envie qui manque je l’avoue
De venir vous causer de merveilleux ennuis.
Venir dire vos fautes en les rêves profonds
De la tendre compagne qui dort à vos côtés
J’y pense quelques fois mais me dit dans le fond
Que le temps donnera ce que vous méritez.
Je voudrais rappeler que mon temps sur la terre
A été parfois triste en vie de solitude
Parce que vous critiquiez alors mon caractère
Héritage transmis j’en ai la certitude.
Je pourrai me venger, je pourrai faire du mal
Mais du lieu où je suis-je n’en ai plus envie
Je veux vivre ma mort de façon très normale
Et puis tant pis si vous, vous ratez votre vie.
L’éternel n’est point, on se retrouvera
Et en toute quiétude alors nous parlerons
On reverra le temps, on se reparlera
De ces tristes instants où rien ne tournait rond.
Du fond de votre oubli, à l’instant du réveil
Vous aurez mon image, en rêve, en cauchemar
Et ouvrant la fenêtre vous fixerez le ciel
En me cherchant là haut si j’y suis par hasard.
Je peux dire que le morts ne sont jamais bien loin
Et s’ils étaient méchants tout cela se saurait
Ils sont là pour aider si vous avez besoin
Où pour écrire les mots que je viens d’étirer.