Taxer le capital ou étendre la cotisation ?! (L'enjeu du salaire)
- il y a 11 ans
A-t-on besoin de l'accumulation financière pour investir ?
http://www.reseau-salariat.info/
Résumé (sous forme de zapping) d'une conférence-débat tenue par l'économiste et sociologue Bernard Friot à la "Librairie Tropiques" en Mars 2012.
La conférence est disponible ici dans son intégralité :
http://www.librairie-tropiques.fr/article-bernard-friot-l-enjeu-du-salaire-102510698.html
Cette accumulation financière, aujourd'hui largement critiquée et pointée du doigt, n'est-elle pas le premier frein à l'investissement ? Ne prouve-t-on pas déjà, à travers la cotisation, qu'on peut très bien se passer de la propriété lucrative pour investir, et investir bien plus même ?
Taxer le capital, c'est lui donner toutes les raisons d'exister.
C'est pourtant bien cet abus de la propriété lucrative qui nous empêche d'étendre la propriété d'usage au plus grand nombre. Emparons-nous de cette lecture du PIB et de sa répartition pour mieux comprendre ce qui dans le réel, sous nos yeux, est déjà révolutionnaire et complètement subversif au capitalisme... sans pour autant abolir la propriété privée, mais pour au contraire la diffuser et la rendre plus accessible à un maximum de citoyen(ne)s.
http://www.reseau-salariat.info/
Résumé (sous forme de zapping) d'une conférence-débat tenue par l'économiste et sociologue Bernard Friot à la "Librairie Tropiques" en Mars 2012.
La conférence est disponible ici dans son intégralité :
http://www.librairie-tropiques.fr/article-bernard-friot-l-enjeu-du-salaire-102510698.html
Cette accumulation financière, aujourd'hui largement critiquée et pointée du doigt, n'est-elle pas le premier frein à l'investissement ? Ne prouve-t-on pas déjà, à travers la cotisation, qu'on peut très bien se passer de la propriété lucrative pour investir, et investir bien plus même ?
Taxer le capital, c'est lui donner toutes les raisons d'exister.
C'est pourtant bien cet abus de la propriété lucrative qui nous empêche d'étendre la propriété d'usage au plus grand nombre. Emparons-nous de cette lecture du PIB et de sa répartition pour mieux comprendre ce qui dans le réel, sous nos yeux, est déjà révolutionnaire et complètement subversif au capitalisme... sans pour autant abolir la propriété privée, mais pour au contraire la diffuser et la rendre plus accessible à un maximum de citoyen(ne)s.