Guidoni - La farce bleue
En cadeau de Noël exceptionnel: Jean Guidoni dans "La farce bleue" (Eléonore Weber - Edith Fambuena)
Dans son site www.lalalala.org, Didier Dahon critique avec pertinence le disque "Trapèze" et évoque notamment "les guitares crépusculaires de "La farce bleue", sans doute le plus extraordinaire tour de force de l'album et le plus plus méconnu des joyaux - noirs - de la pop - de ceux qui vous font danser seul dans la nuit de votre chambre, esprit et corps occupés par une sorte de mélancolie entraînante et infinie".
Et d'ajouter: "La gravité de Jean Guidoni, la voix presque enfantine et parfois mal assurée d'Edith Fambuena, le rythme et les guitares donc, sans oublier la beauté désabusée du texte: "Il n'y a pas de tourbillon / Sans la chimère / Il n'y a pas d'autre abandon / Que l'illusion"… Qui eût dit que c'est avec Jean Guidoni qu'Edith Fambuena ferait sa chapelle Sixtine ? Et qui eût cru que Jean Guidoni, empruntant les chemins de la pop, parviendrait, lui aussi, au-delà de l'expérimentation, au coup de maître ? Dans un monde meilleur, il serait même passé directement avec cette "Farce bleue" du music-hall lettré (cf. les textes de Pierre Philippe) à la première place du top 50… (encore aurait-il fallu que les Inrockuptibles et consort écoutassent l'album et fissent leur travail. Mais peut-être pour attirer leur attention, suffisait-il d'indiquer "Bashung" sur la pochette du disque ?).
L'alchimie entre la chanson et la pop est tellement parfaite, et tellement surprenante, que ceux qui avaient enfermé le chanteur dans son rôle vont devoir désapprendre leur Jean Guidoni. Ils accèderont alors paradoxalement à la quintessence de son art. Trapèze, ou "Comment se renouveler en creusant toujours le même sillon."
Voir Didier Dahon, www.lalalala.org/trapeze.html
Retrouvez aussi l'actualité et le parcours de Jean Guidoni sur http://ecastaing.free.fr/jean_guidoni
(discographie, concerts, forum, etc.)
NOUVEL ALBUM MARS 2007 (collaborations avec Dominique A, Philippe Katerine, Dionysos, Jeanne Cherhal...)
Dans son site www.lalalala.org, Didier Dahon critique avec pertinence le disque "Trapèze" et évoque notamment "les guitares crépusculaires de "La farce bleue", sans doute le plus extraordinaire tour de force de l'album et le plus plus méconnu des joyaux - noirs - de la pop - de ceux qui vous font danser seul dans la nuit de votre chambre, esprit et corps occupés par une sorte de mélancolie entraînante et infinie".
Et d'ajouter: "La gravité de Jean Guidoni, la voix presque enfantine et parfois mal assurée d'Edith Fambuena, le rythme et les guitares donc, sans oublier la beauté désabusée du texte: "Il n'y a pas de tourbillon / Sans la chimère / Il n'y a pas d'autre abandon / Que l'illusion"… Qui eût dit que c'est avec Jean Guidoni qu'Edith Fambuena ferait sa chapelle Sixtine ? Et qui eût cru que Jean Guidoni, empruntant les chemins de la pop, parviendrait, lui aussi, au-delà de l'expérimentation, au coup de maître ? Dans un monde meilleur, il serait même passé directement avec cette "Farce bleue" du music-hall lettré (cf. les textes de Pierre Philippe) à la première place du top 50… (encore aurait-il fallu que les Inrockuptibles et consort écoutassent l'album et fissent leur travail. Mais peut-être pour attirer leur attention, suffisait-il d'indiquer "Bashung" sur la pochette du disque ?).
L'alchimie entre la chanson et la pop est tellement parfaite, et tellement surprenante, que ceux qui avaient enfermé le chanteur dans son rôle vont devoir désapprendre leur Jean Guidoni. Ils accèderont alors paradoxalement à la quintessence de son art. Trapèze, ou "Comment se renouveler en creusant toujours le même sillon."
Voir Didier Dahon, www.lalalala.org/trapeze.html
Retrouvez aussi l'actualité et le parcours de Jean Guidoni sur http://ecastaing.free.fr/jean_guidoni
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NOUVEL ALBUM MARS 2007 (collaborations avec Dominique A, Philippe Katerine, Dionysos, Jeanne Cherhal...)
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