• il y a 12 ans
Après la vague. Pour le promeneur matinal, une plage vierge est comme une page blanche. Tout est neuf et tous les avenirs peuvent s’imaginer. Après la vague, il reste un souvenir de son mouvement, borné par le dépôt du sable, de l’écume et des rejets de la civilisation. Si on s’intéresse à l’esthétique des restes, on peut y voir comme un signe des possibles et un espoir de re-création.