Boubaker Ajimi force le respect par son courage et sa dignité exemplaires. Tout le monde le dit.

  • il y a 12 ans
Deux jours après la mort de son fils aîné de 22 ans, il est allé s’excuser auprès du directeur de l’agence grassoise du Crédit agricole avec qui Hakim avait eu une altercation le 9 mai 2008. Il a aussi versé 200 € pour renflouer le découvert bancaire de son fils décédé. Surtout, depuis cet après-midi tragique, il a toujours gardé son calme, ne détournant jamais sa douleur intérieure de son combat forcé, n’élevant jamais le verbe, refusant la colère, la haine et la vengeance. Mais exigeant la vérité et la justice. Pour Hakim.

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