Arthur Paecht, ancien vice-président de l’Assemblée nationale, président d’honneur de l’IRIS, répond à nos questions : - En 2001, vous étiez député et avez voté la loi portant sur la reconnaissance de génocide arménien. Quelles étaient vos motivations à l’époque ? - Dix ans après, quel regard portez-vous sur la loi votée le 22 décembre par l’Assemblée nationale et visant à punir pénalement la contestation du génocide ? - Malgré les mesures de rétorsion économique prises par la Turquie, certains trouvent que la France a bien fait de ne pas “brader ses convictions sur l’autel de la raison économique et commerciale”. Qu’en pensez-vous ?