Ton anniversaire Jomusic Atalozur
texte et musique de Joäo Marques
Elle m’a jeté comme une pierre, elle m’a jeté de son cœur creux
Je suis parti la bouche amère et les larmes au bord des yeux
Parti pour ne plus la voir faire, et pour plus ne plus l’entendre dire
Ce mal qu’elle allait me faire, douleur qui devrait nous détruire
Je ne voulais qu’un amour sincère comme celui immaculé
Que tissent les liens et la chair dans la plus stricte intimité
Elle m’a aimé à sa manière sans un baiser un geste tendre
Et fit de moi un solitaire qui essayait de se comprendre
Je suis parti en ayant peur du noir, des gens et du vide
Bien que j’ai cherché ailleurs d’autres amours d’autres guides
Elle m’a donné la peur d’aimer, la crainte même du bonheur
Tout ce qu’elle avait tué depuis longtemps dans son cœur
J’ai trop longtemps gardé un voile sur toutes ses années perdues
Et seul mon chagrin sait ce que valent mes larmes tombées dans la rue
Je l’ai aimée comme une mère, aimé comme aime un enfant
Qui ne voulait que lui plaire, qui aurait vaincu des géants
J’ai de l’amour dans mon cœur c’est un amour qui l’y a mis
Il y a mis des tonnes de bonheur et une tendresse infinie
Souvent je ris parfois je pleure, d’autres fois j’aimerais oublier
Ces pensées et toutes ces peurs et la femme que tu étais
C’était hier ton anniversaire, je l’ai oublié, c’est dérisoire
Mais je reviendrai pas en arrière , non, je n’irai plus te voir.
Elle m’a jeté comme une pierre, elle m’a jeté de son cœur creux
Je suis parti la bouche amère et les larmes au bord des yeux
Parti pour ne plus la voir faire, et pour plus ne plus l’entendre dire
Ce mal qu’elle allait me faire, douleur qui devrait nous détruire
Je ne voulais qu’un amour sincère comme celui immaculé
Que tissent les liens et la chair dans la plus stricte intimité
Elle m’a aimé à sa manière sans un baiser un geste tendre
Et fit de moi un solitaire qui essayait de se comprendre
Je suis parti en ayant peur du noir, des gens et du vide
Bien que j’ai cherché ailleurs d’autres amours d’autres guides
Elle m’a donné la peur d’aimer, la crainte même du bonheur
Tout ce qu’elle avait tué depuis longtemps dans son cœur
J’ai trop longtemps gardé un voile sur toutes ses années perdues
Et seul mon chagrin sait ce que valent mes larmes tombées dans la rue
Je l’ai aimée comme une mère, aimé comme aime un enfant
Qui ne voulait que lui plaire, qui aurait vaincu des géants
J’ai de l’amour dans mon cœur c’est un amour qui l’y a mis
Il y a mis des tonnes de bonheur et une tendresse infinie
Souvent je ris parfois je pleure, d’autres fois j’aimerais oublier
Ces pensées et toutes ces peurs et la femme que tu étais
C’était hier ton anniversaire, je l’ai oublié, c’est dérisoire
Mais je reviendrai pas en arrière , non, je n’irai plus te voir.