François de Roubaix-Dernier domicile connu-Ed Sido music
- il y a 13 ans
Après « La septième cible » la musique d’un autre polar à la française avec Lino Ventura : celle de « dernier domicile connu » de José Giovanni sorti sur les écrans en 1970 que je vous restitue ici au piano
Cette fois la musique est signée François de Roubaix (1939-75), un compositeur autodidacte qui en 10 ans de carrière à peine a su créer un style musical aux sonorités nouvelles : inspiré par le jazz qu’il affectionnait, il a aussi été un des premiers à utiliser le synthétiseur dans des musiques de film L’intrigue du film est la longue enquête d’un policier (Lino Ventura) flanqué d' une femme flic au tempérament et aux méthodes opposées (Marlène Jobert utilise la douceur alors qu’il est implacable) ,recherchant un témoin indispensable pour condamner un criminel
Le tendem Ventura-Jobert parcourt sans relâche les rues de paris à la recherche de ce témoin, une mission qui semble impossible!
Et c’est de cette recherche sans fin que François de Roubaix a extrait un premier thème répétitif, envoutant qui revient tout au long du film : « un peu à la Bach mais avec une rythmique pop »
Le second thème « solitude urbaine » utilise les mêmes harmonies mais dans une atmosphère différente : thème triste il est le thème de la solitude de Lino Ventura qui refuse de s’engager dans une relation avec le personnage de Marlène Jobert et s’en va tout seul à la fin du film se perdre dans les rues de Paris, résigné devant les dysfonctionnements de la justice qui n’ont pas pu empêcher la disparition du témoin( un homme sans histoire avec sa fille qui représente une certaine purété dans un monde brutal, pureté que l’on retrouve aussi dans le personnage sensible de Marlène Jobert qui s’attache à eux)
Ce thème a donné lieu à une chanson avec Nicoletta sur des paroles de José Giovanni mais qui curieusement n’apparaît pas dans le film, même pas dans le générique de fin Il faut écouter la BO pour pouvoir l’entendre !
Cette fois la musique est signée François de Roubaix (1939-75), un compositeur autodidacte qui en 10 ans de carrière à peine a su créer un style musical aux sonorités nouvelles : inspiré par le jazz qu’il affectionnait, il a aussi été un des premiers à utiliser le synthétiseur dans des musiques de film L’intrigue du film est la longue enquête d’un policier (Lino Ventura) flanqué d' une femme flic au tempérament et aux méthodes opposées (Marlène Jobert utilise la douceur alors qu’il est implacable) ,recherchant un témoin indispensable pour condamner un criminel
Le tendem Ventura-Jobert parcourt sans relâche les rues de paris à la recherche de ce témoin, une mission qui semble impossible!
Et c’est de cette recherche sans fin que François de Roubaix a extrait un premier thème répétitif, envoutant qui revient tout au long du film : « un peu à la Bach mais avec une rythmique pop »
Le second thème « solitude urbaine » utilise les mêmes harmonies mais dans une atmosphère différente : thème triste il est le thème de la solitude de Lino Ventura qui refuse de s’engager dans une relation avec le personnage de Marlène Jobert et s’en va tout seul à la fin du film se perdre dans les rues de Paris, résigné devant les dysfonctionnements de la justice qui n’ont pas pu empêcher la disparition du témoin( un homme sans histoire avec sa fille qui représente une certaine purété dans un monde brutal, pureté que l’on retrouve aussi dans le personnage sensible de Marlène Jobert qui s’attache à eux)
Ce thème a donné lieu à une chanson avec Nicoletta sur des paroles de José Giovanni mais qui curieusement n’apparaît pas dans le film, même pas dans le générique de fin Il faut écouter la BO pour pouvoir l’entendre !