Camp 2010 Pampelonne - Troupe Saint Martin (2ème Verrières)
- il y a 13 ans
Réalisateur : Geoffroy Saillard, chef de la troupe Saint Martin, 2ème Verrières-le-Buisson.
Comme tous camp éclaireurs, trois semaines ou on sort de son milieu conforme ou confort, pour être disponible au service de l’autre et en toutes situations, être maitre de soi, jusqu'à ne rien faire à moitié.
On ne s’en rend pas compte au début mais progressivement, inconsciemment et dans chaques gestes et actions notre devoirs s’accomplit. La grâce de dieu y est pour quelque chose autant que notre responsabilité dans son poste d’action.
Basé sur trois temps, les camp éclaireurs se fondent sur la construction, la découverte et le jeux, selon cette ordre dans la majorité des cas.
Ce camp s’est déroulé au château de « Pampelonne » dans l’Ardèche sud, plateau sec, avec ces canyons humides ressemblant à une certaine Sierra de Guara en Espagne sans la teinte rouge.
Un imaginaire basé sur la recherche de « l’Hyperborée » entre l’armée secrète du japon « le Kantô » et les forces spéciales anglaises ayant eu vent de ces recherches occultes, cette cité détiendrait une technologie permettant puissance et prospérité qui proviendrait de quatre monolithes procurant une énergie absolue. Mais pas destiné à de mauvaises mains. Alliant les thèmes de l’anticipation et d’aventure Entre « l’arche perdue » de Spielberg et des inspirations utopiques de Jules Vernes « Voyages eu centre de la terre » en passant par « l’Atlantide » de Planton pour finir par « la guerre des mondes » de H.G Wells.
Au rythme de la troupe St Martin, 2ème du groupe Honoré d’ Estienne D’orves situé dans l’Essonne nord à Verrières le Buisson, la ville village, où les traditions restent tenaces.
« La ville asphyxie, dites-vous ?, alors campez ! »
Michel Menu
Comme tous camp éclaireurs, trois semaines ou on sort de son milieu conforme ou confort, pour être disponible au service de l’autre et en toutes situations, être maitre de soi, jusqu'à ne rien faire à moitié.
On ne s’en rend pas compte au début mais progressivement, inconsciemment et dans chaques gestes et actions notre devoirs s’accomplit. La grâce de dieu y est pour quelque chose autant que notre responsabilité dans son poste d’action.
Basé sur trois temps, les camp éclaireurs se fondent sur la construction, la découverte et le jeux, selon cette ordre dans la majorité des cas.
Ce camp s’est déroulé au château de « Pampelonne » dans l’Ardèche sud, plateau sec, avec ces canyons humides ressemblant à une certaine Sierra de Guara en Espagne sans la teinte rouge.
Un imaginaire basé sur la recherche de « l’Hyperborée » entre l’armée secrète du japon « le Kantô » et les forces spéciales anglaises ayant eu vent de ces recherches occultes, cette cité détiendrait une technologie permettant puissance et prospérité qui proviendrait de quatre monolithes procurant une énergie absolue. Mais pas destiné à de mauvaises mains. Alliant les thèmes de l’anticipation et d’aventure Entre « l’arche perdue » de Spielberg et des inspirations utopiques de Jules Vernes « Voyages eu centre de la terre » en passant par « l’Atlantide » de Planton pour finir par « la guerre des mondes » de H.G Wells.
Au rythme de la troupe St Martin, 2ème du groupe Honoré d’ Estienne D’orves situé dans l’Essonne nord à Verrières le Buisson, la ville village, où les traditions restent tenaces.
« La ville asphyxie, dites-vous ?, alors campez ! »
Michel Menu