Extrait du "Parcours de chercheurs" de Jean Faucher, chercheur en génie électrique, professeur émérite de l'Institut national polytechnique de Toulouse.
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "Matra s'est posé la question du transport en commun et s'est dit "avec les possibilités actuelles de l'informatique, de l'électronique, ne pourrait-on pas revoir un petit peu tout ce qui est transport en commun et en perticulier tout ce qui est train". Et Matra s'est proposé de lancer une opération qui s'appelait "Aramis". Donc ils ont prévu, première chose, que les véhicules qui circulaient sur la voie principale seraient des véhicules qui circuleraient en convoi automatique, c'est-à-dire pas conducteur. Mais, les véhicules quittent une voie, vont sur la voie principale et s'accrochent aux véhicules qui sont sur la voie principale, mais s'accrochent de façon non effective, non mécanique : simplement, un capteur qui va détecter le véhicule qui précède et un automatisme qui va gérer la distance entre les deux véhicules qui reste de quelques dizaines de centimètres. Donc c'est un train, mais un train sans qu'il y ait accrochage entre les wagons. Donc cela permet effectivement des économies d'énergie et plein d'autres choses. Deuxième chose, les véhicules sont sur pneus et donc sur une voie ..."
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "Matra s'est posé la question du transport en commun et s'est dit "avec les possibilités actuelles de l'informatique, de l'électronique, ne pourrait-on pas revoir un petit peu tout ce qui est transport en commun et en perticulier tout ce qui est train". Et Matra s'est proposé de lancer une opération qui s'appelait "Aramis". Donc ils ont prévu, première chose, que les véhicules qui circulaient sur la voie principale seraient des véhicules qui circuleraient en convoi automatique, c'est-à-dire pas conducteur. Mais, les véhicules quittent une voie, vont sur la voie principale et s'accrochent aux véhicules qui sont sur la voie principale, mais s'accrochent de façon non effective, non mécanique : simplement, un capteur qui va détecter le véhicule qui précède et un automatisme qui va gérer la distance entre les deux véhicules qui reste de quelques dizaines de centimètres. Donc c'est un train, mais un train sans qu'il y ait accrochage entre les wagons. Donc cela permet effectivement des économies d'énergie et plein d'autres choses. Deuxième chose, les véhicules sont sur pneus et donc sur une voie ..."
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