Extrait du "Parcours de chercheurs" de Jean Faucher, chercheur en génie électrique, professeur émérite de l'Institut national polytechnique de Toulouse.
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "C'était très intéressant. J'avais à monter plusieurs choses : un laboratoire d'automatique dans une école polytechnique de Téhéran, un laboratoire de haute tension qui était très spectaculaire et un laboratoire de calcul analogique qui était un bâtiment. J'ai construit un bâtiment pour le calcul analogique. On n'avait pas l'équivalent en France. L'Iran avait beaucoup d'argent à l'époque. Et la coopération, qu'elle soit française ou allemande ou d'autres pays, donnait beaucoup d'argent effectivement non seulement à l'Iran, mais à l'ensemble des pays en voie de développement."
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "C'était très intéressant. J'avais à monter plusieurs choses : un laboratoire d'automatique dans une école polytechnique de Téhéran, un laboratoire de haute tension qui était très spectaculaire et un laboratoire de calcul analogique qui était un bâtiment. J'ai construit un bâtiment pour le calcul analogique. On n'avait pas l'équivalent en France. L'Iran avait beaucoup d'argent à l'époque. Et la coopération, qu'elle soit française ou allemande ou d'autres pays, donnait beaucoup d'argent effectivement non seulement à l'Iran, mais à l'ensemble des pays en voie de développement."
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