Extrait du "Parcours de chercheurs" de Jean Faucher, chercheur en génie électrique, professeur émérite de l'Institut national polytechnique de Toulouse.
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "Alors le point de départ de la thèse d'Etat, de mon travail au laboratoire, c'est en 1972, c'est le contrat Matra, le contrat Matra avec le travail sur les machines à réluctance. C'est un travail dont, très rapidement, on s'est aperçu qu'il allait nettement au-delà d'un simple contrat industriel c'est-à-dire qu'il y avait réellement dans ces machines à réluctance, un sujet à recherche. Donc ce que l'on a fait dès 73, c'est qu'on a mis en place une petite équipe de recherche - dont j'ai eu la direction tout de suite - qui a travaillé sur les machines à réluctance. Et donc on s'est, à plusieurs équipes, en collaboration, on s'est lancé sur cette opération de machine à réluctance. Une machine à réluctance d'abord pour essayer de modéliser correctement c'est-à-dire d'avoir des bons modèles de comportement, de savoir comment les associer au convertisseur statique et puis ensuite quels étaient les principes pour obtenir les meilleures performances possibles de ces machines. Et donc, j'ai passé ma thèse d'Etat, mon doctorat d'Etat sur les machines à réluctance après avoir dirigé plusieurs thèses, six thèses je crois, en 1981...
Jean Faucher a consacré une partie de son activité de chercheur à l'étude du traitement de l'information pour la modélisation, la surveillance et le diagnostic des machines électriques. Par goût et grâce, notamment, à son expérience passée d'expatrié, Jean Faucher a été chargé des relations internationales de l'INPT. Les machines à réluctance variable ont été l'objet principal de son doctorat d'Etat soutenu en 1981. Durant 13 ans, il a été, au sein du Laboratoire LEEI de l'ENSEEIHT, responsable du groupe de recherche sur la commande par calculateurs des ensembles machines-convertisseurs. Au cours de sa carrière, il a, par ailleurs, présidé le jury de l'agrégation de Physique Appliquée.
SCRIPT : "Alors le point de départ de la thèse d'Etat, de mon travail au laboratoire, c'est en 1972, c'est le contrat Matra, le contrat Matra avec le travail sur les machines à réluctance. C'est un travail dont, très rapidement, on s'est aperçu qu'il allait nettement au-delà d'un simple contrat industriel c'est-à-dire qu'il y avait réellement dans ces machines à réluctance, un sujet à recherche. Donc ce que l'on a fait dès 73, c'est qu'on a mis en place une petite équipe de recherche - dont j'ai eu la direction tout de suite - qui a travaillé sur les machines à réluctance. Et donc on s'est, à plusieurs équipes, en collaboration, on s'est lancé sur cette opération de machine à réluctance. Une machine à réluctance d'abord pour essayer de modéliser correctement c'est-à-dire d'avoir des bons modèles de comportement, de savoir comment les associer au convertisseur statique et puis ensuite quels étaient les principes pour obtenir les meilleures performances possibles de ces machines. Et donc, j'ai passé ma thèse d'Etat, mon doctorat d'Etat sur les machines à réluctance après avoir dirigé plusieurs thèses, six thèses je crois, en 1981...
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