« Ils vont nous retrouver une fois de plus dans leurs pattes. On ne se laissera pas mettre à la porte. Nestlé qui a beaucoup plus de poids que les banques n’y est pas arrivé ». C’est en ces mots que Norbert Sanchez, délégué CGT Netcacao réagit au report au 2 février de la décision du Tribunal de Commerce, qui devait statuer ce mercredi sur l’avenir de l’entreprise : la liquidation, un redressement judiciaire ou la poursuite de l’activité. Repris à la multinationale suisse en 2006, Netcacao affiche un carnet de commande bien rempli mais a besoin d’un fond de roulement d’entre 6 et 8 millions d’euros.
D’autre part, le syndicaliste nous indique que Netcacao a déjà dû se séparer d’une entreprise de nettoyage comptant trois salariées. Des licenciements que le délégué syndical impute directement à Netcacao. « Moi j’ai beaucoup perdu. Ces gens qui se retrouvent au chômage pour moi c’est horrible ».
D’autre part, le syndicaliste nous indique que Netcacao a déjà dû se séparer d’une entreprise de nettoyage comptant trois salariées. Des licenciements que le délégué syndical impute directement à Netcacao. « Moi j’ai beaucoup perdu. Ces gens qui se retrouvent au chômage pour moi c’est horrible ».
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