William Sheller-Le Nouveau monde

  • il y a 14 ans
Nouvelle interprétation de cette Chanson, un "must" extrait de l'album "Univers"(1987)
On sent bien ici l'influence du monde du "Classique" chez William Sheller puisqu'elle est écrite dans le style baroque d'une Ouverture à la française (passage très vif encadré par deux passages presques identiques plus majestueux avec des rythmes pointés)
Bien sur l'artiste y a ajouté "sa patte" avec dans le passage central une accentation décallée, un coté un peu percussif parfois qu'il emprunte au Rock (son autre influence)
Je précise que la version originale était pour orchestre et voix. Mais William Sheller a écrit une très bonne réduction pour le piano dont je me sers ici.

Vous qui restez si bien de glace
Souffrez que mes mots dépassent
Le peu de raison que je tienne
Quand vous laissez ma peine
En disgrâce
Devant votre indifférence
Je perds un amour immense
Pour lequel j'avais au départ
Comme au jeu de hasard
Peu de chance
{Refrain:}
Long est le chemin
Qui me mène vers le nouveau monde
Aussi longue est la nuit
Qui me fait penser à vous

Même les Princes des Maisons de France
Avec leurs magnificences
N'égaleront jamais en vous
Cet orgueil qui se joue
D'insolence
Des opéras de misère
Vous feront gloire de l'enfer
Où je vais tomber à genoux
En découvrant le goût
De l'absence

Vous qui restez si bien de glace
Souffrez que mes mots dépassent
Le peu de raison que je tienne
Quand vous laissez ma peine
En disgrâce
Devant votre indifférence
Je perds un amour immense
Pour lequel j'avais au départ
Comme au jeu de hasard
Peu de chance

Long est le chemin
Qui me mène vers le nouveau monde
Aussi longue est la nuit
Qui me fait penser à vous

Même les Princes des Maisons de France
Avec leurs magnificences
N'égaleront jamais en vous
Cet orgueil qui se joue
D'insolence
Des opéras de misère
Vous feront gloire de l'enfer
Où je vais tomber à genoux
En découvrant le goût
De l'absence

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