"Il n'y a pas de complot" pour écouter les journalistes

  • il y a 14 ans
Comment justifier d'éventuelles écoutes, en utilisant l'éternel et pitoyable mot "terrorisme".
François Fillon tente de calmer le jeu, après les accusations d'espionnage de journalistes par les services secrets.
"La vérité, c'est qu'il n'y a pas de complot. Il n'y a que l'intérêt national", a déclaré le François Fillon. : ))))
À deux reprises, Le Canard enchaîné a accusé l'Elysée de piloter des opérations de surveillance de la presse. L'hebdomadaire affirme t que l'Elysée, Matignon et la police ont manoeuvrés pour que la police puisse examiner les factures d'appels téléphoniques de journalistes en se passant d'autorisation.

Même Matignon reconnaît implicitement des écoutes. . Une information confirmée par la Commission nationale de contrôle des interceptions de sécurité (CNCIS).

"Cette note confirme implicitement qu'il il y a bien eu des écoutes sur les journalistes", explique Fabrice Lhomme, journaliste à Mediapart.

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