Amina et Djamal et la blessure algérienne(fin)

  • il y a 14 ans
C'est grâce à mon compagnon de route Djamel déporté que j'ai eu la chance de rencontrer cette belle est souriante femme . Mais , dans son fort intérieur elle souffre le martyr à cause d'une disparition d'un être chère et d'une blessure en rapport avec l'expulsion des marocains d'Oran en 1975. Un e femme que sa parole vaut mieux que des centaines l de ces déportés fatalistes et muets.
Son regard fixe est comme un flash qui retient l'instant et le prolonge. C'est le veilleur sur notre mémoire