Lors d'une interview pour Ouvertures, Thierry Bécourt, président de Cap Liberté de conscience, explique comment en 2006, cédant au chantage du président de la Miviludes (Mission de lutte contre les dérives sectaires) et de Catherine Picard, la présidente de l'Unadfi, la rédaction du "Téléphone sonne" sur "France Inter" l'avait finalement censuré. Alors même que c'était elle, la rédaction, qui avait souhaité l'entendre...
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