L’ampleur de la mobilisation contre la réforme des retraites est historique. Elle est soutenue par plus de 70% des français et a rassemblé 3 millions de manifestants à plusieurs reprises dès la rentrée. Le gouvernement tente malgré tout de passer en force, alors que Nicolas Sarkozy s’était engagé à ne pas revenir sur la retraite à 60 ans, n’ayant «pas de mandat pour le faire».
Il nous impose aujourd’hui la réforme la plus dure d’Europe, alors que nous devons déjà cotiser plus longtemps que dans les autres pays. Pour les jeunes, c’est encore moins d’emplois au moment d’entrer sur le marché du travail et, à cause du chômage et de la précarité, plus de difficultés à cotiser assez pour avoir une retraite à taux plein. C’est la double peine.
La droite défend cette réforme parce qu’elle ne veut pas faire les efforts nécessaires pour financer le système de retraite par répartition. Il faudrait augmenter les salaires, créer des emplois, augmenter le montant des cotisations, taxer le capital et revenir sur les niches sociales. Elle préfère servir les intérêts du medef et avantager les systèmes par capitalisation, au détriment de l’intérêt général et même de notre espérance de vie.
Les salariés ne doivent pas se laisser faire face à un gouvernement qui a décidé de ne céder qu'aux exigences des milieux financiers. Les jeunes, étudiants et lycéens, qu’on précarise un peu plus et qu’on dissuade d’étudier, sont les plus menacés et les plus craints par le gouvernement, il est urgent de se mobiliser pour défendre un autre avenir.
Etre responsable, c'est manifester.
Il nous impose aujourd’hui la réforme la plus dure d’Europe, alors que nous devons déjà cotiser plus longtemps que dans les autres pays. Pour les jeunes, c’est encore moins d’emplois au moment d’entrer sur le marché du travail et, à cause du chômage et de la précarité, plus de difficultés à cotiser assez pour avoir une retraite à taux plein. C’est la double peine.
La droite défend cette réforme parce qu’elle ne veut pas faire les efforts nécessaires pour financer le système de retraite par répartition. Il faudrait augmenter les salaires, créer des emplois, augmenter le montant des cotisations, taxer le capital et revenir sur les niches sociales. Elle préfère servir les intérêts du medef et avantager les systèmes par capitalisation, au détriment de l’intérêt général et même de notre espérance de vie.
Les salariés ne doivent pas se laisser faire face à un gouvernement qui a décidé de ne céder qu'aux exigences des milieux financiers. Les jeunes, étudiants et lycéens, qu’on précarise un peu plus et qu’on dissuade d’étudier, sont les plus menacés et les plus craints par le gouvernement, il est urgent de se mobiliser pour défendre un autre avenir.
Etre responsable, c'est manifester.
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