La catastrophe de Tchernobyl est un accident nucléaire qui s'est produit le 26 avril 1986 dans la centrale nucléaire Lénine en Ukraine.
Le nuage radioactif issu de la catastrophe de Tchernobyl atteint la France le 29 avril 1986, détecté par les systèmes de la centrale nucléaire de Cattenom, près de la frontière luxembourgeoise, puis Paris étant à environ 2000 km de Tchernobyl: « La détection des aérosols radioactifs ayant survolé le territoire après l’accident a été rapide. et 30 avril).
Dès le 1er mai, on avait ainsi connaissance d’une élévation anormale de l’activité de l’air les 29 et 30 avril. »
Le gouvernement français estime alors qu’aucune mesure particulière de sécurité n’est nécessaire. Le Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), placé sous la direction du professeur Pierre Pellerin et sous la tutelle du ministère de la Santé, annonce le 29 avril 1986 par un premier communiqué qu'« aucune élévation significative de la radioactivité n'a été constatée ».
L'analyse dix-sept ans plus tard des relevés faits à l'époque confirme ce diagnostic : « Les mesures d’aérosols atmosphériques effectuées principalement par le SCPRI et le CEA, permettaient la caractérisation des masses d’air contaminé très rapidement en fournissant une bonne indication des niveaux d’activité atteints. Ces mesures [...] permettaient d’évaluer dans des délais satisfaisants les doses reçues par la population lors du passage du nuage. Ces doses efficaces qui sont faibles, inférieures à 0,5 pSv pour l’irradiation externe et inférieures à 20 pSv pour l’inhalation (IPSN, 1986 ; Renaud et al., 1999a), ne nécessitaient pas à elles seules de dispositions particulières de protection de la population (mise à l’abri ou distribution d’iode stable). »
Le 30 avril, la présentatrice Brigitte Simonetta annonce dans un bulletin météorologique d'Antenne 2 que la France est protégée du « nuage » par l’anticyclone des Açores
Le nuage radioactif issu de la catastrophe de Tchernobyl atteint la France le 29 avril 1986, détecté par les systèmes de la centrale nucléaire de Cattenom, près de la frontière luxembourgeoise, puis Paris étant à environ 2000 km de Tchernobyl: « La détection des aérosols radioactifs ayant survolé le territoire après l’accident a été rapide. et 30 avril).
Dès le 1er mai, on avait ainsi connaissance d’une élévation anormale de l’activité de l’air les 29 et 30 avril. »
Le gouvernement français estime alors qu’aucune mesure particulière de sécurité n’est nécessaire. Le Service central de protection contre les rayonnements ionisants (SCPRI), placé sous la direction du professeur Pierre Pellerin et sous la tutelle du ministère de la Santé, annonce le 29 avril 1986 par un premier communiqué qu'« aucune élévation significative de la radioactivité n'a été constatée ».
L'analyse dix-sept ans plus tard des relevés faits à l'époque confirme ce diagnostic : « Les mesures d’aérosols atmosphériques effectuées principalement par le SCPRI et le CEA, permettaient la caractérisation des masses d’air contaminé très rapidement en fournissant une bonne indication des niveaux d’activité atteints. Ces mesures [...] permettaient d’évaluer dans des délais satisfaisants les doses reçues par la population lors du passage du nuage. Ces doses efficaces qui sont faibles, inférieures à 0,5 pSv pour l’irradiation externe et inférieures à 20 pSv pour l’inhalation (IPSN, 1986 ; Renaud et al., 1999a), ne nécessitaient pas à elles seules de dispositions particulières de protection de la population (mise à l’abri ou distribution d’iode stable). »
Le 30 avril, la présentatrice Brigitte Simonetta annonce dans un bulletin météorologique d'Antenne 2 que la France est protégée du « nuage » par l’anticyclone des Açores
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