Véritable premier chantier, la mentalité !

Depuis avant l'indépendance le congolais a développé une culture de rêve. Même si ce rêve est entretenu par des discours de marketing tels que "Demain on rase gratis", le congolais croit déjà arrivé. Il se voit géant et fort bien qu'il ait des pieds en argile. Il rêve... rêve sans se rendre compte que le monde tourne réellement pendant qu'il continue à dormir. Et pour que son sommeil ne soit pas ennuyant, il fait beaucoup de rêves.
Et pourtant, comme disait Elanor Roosevelt une femme politique américaine, le futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves. Et si le congolais pouvait rendre réelle la beauté de ses rêves en commençant par le véritable premier chantier...
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