Des-tulipes-contre-le-cancer-2010
- il y a 14 ans
Reportage sur l'inauguration de l'opération "Des tulipes contre le cancer 2010" à Nieppe (Nord).
Le docteur Bernard Leclercq, directeur du centre Oscar Lambret (Lille) nous parle des recherches,
des progrès réalisés. Il nous invite à constater l'avancée des travaux. Le cancer frappe au hasard il
peut bouleverser et stopper net, la destinée de chacun d'entre nous, que l'on soit bon ou mauvais,
intelligent ou non, courageux ou non.
Le médecin est un homme, il ne peut se résigner à se voir distancé par cette maladie. De par sa
vocation d'homme au service des hommes, il est en permanente recherche de fonds afin de financer
l'espoir d'une possible guérison pour tous les cancers.
La modestie des chercheurs ne peut que susciter notre admiration et notre amour, tant il est vrai qu’il
faut avoir grand coeur et être passionné par le sujet pour continuer tout en étant profondément affecté,
éprouvé et même découragé quand l’espoir si prometteur d’une observation ou d’une idée, se révèle
être une fausse piste.
Quel poids pour le chercheur qui de surcroît ressent que les précieuses ressources utilisées pour
une recherche infructueuse lui feront maintenant défaut.
Il faudra continuer d’expliquer à la famille qu’on a pas pu... que c’était trop tard... Mais surtout que
personne ne voulait cela... mais que ... ton papa ... ta maman enfin que ... saleté de cancer !
Achetons quelques tulipes...
Bernard Pecqueur
Le docteur Bernard Leclercq, directeur du centre Oscar Lambret (Lille) nous parle des recherches,
des progrès réalisés. Il nous invite à constater l'avancée des travaux. Le cancer frappe au hasard il
peut bouleverser et stopper net, la destinée de chacun d'entre nous, que l'on soit bon ou mauvais,
intelligent ou non, courageux ou non.
Le médecin est un homme, il ne peut se résigner à se voir distancé par cette maladie. De par sa
vocation d'homme au service des hommes, il est en permanente recherche de fonds afin de financer
l'espoir d'une possible guérison pour tous les cancers.
La modestie des chercheurs ne peut que susciter notre admiration et notre amour, tant il est vrai qu’il
faut avoir grand coeur et être passionné par le sujet pour continuer tout en étant profondément affecté,
éprouvé et même découragé quand l’espoir si prometteur d’une observation ou d’une idée, se révèle
être une fausse piste.
Quel poids pour le chercheur qui de surcroît ressent que les précieuses ressources utilisées pour
une recherche infructueuse lui feront maintenant défaut.
Il faudra continuer d’expliquer à la famille qu’on a pas pu... que c’était trop tard... Mais surtout que
personne ne voulait cela... mais que ... ton papa ... ta maman enfin que ... saleté de cancer !
Achetons quelques tulipes...
Bernard Pecqueur