Paroles de mal-logés 1

  • il y a 14 ans
Depuis des années, M. vit avec ses 3 enfants dans une chambre d'hôtel de 9 m² à Paris. Elle a été déclarée prioritaire au nom de la loi du droit au logement opposable, pour être rapidement relogée. Elle est pourtant en instance d'expulsion et risque de se retrouver à la rue avec ses enfants, car son hôtelier veut récupérer sa chambre pour la proposer aux touristes.

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