Le village de Valon est fait de maisons uniquement de pierres et de toits de lauzes typiques de la région, son château (avancée militaire au moyen-âge), érigé au sommet d’un promontoire rocheux semble encore le protéger en se dressant au dessus la vallée de la Truyère. Vous serez surpris par l’harmonie de l’ensemble dès vos premiers pas dans sa ruelle principale.
Dominant fièrement la vallée sauvage et encaissée de la Truyère, d'où que l'on arrive, impossible d'échapper à l'extraordinaire vue du château de Valon, véritable forteresse contrôlant autrefois l'accés à la vallée qu'il surplombe de plus de 200 m.
Construit au XII siècle, il fut remis en 1150 à Raymond Béranger III, comte de Barcelone. Plus tard, les anglais l'occupèrent avant d'en être délogés par "Les Routiers" vers 1378. En 1387, le château revint aux comtes d'Armagnac, comtes de Rodez.
Au XVI siècle, le château appartenut à la famille Chaumeil (Jean de Dienne), avant de revenir en 1587 à Louis de Fontanges d'Auberoque. Après une période aux mains des comtes de Monaco, celui-ci fut cédé à Jérôme de Verdier de Mandilhac, trésorier de France en la généralité de Montauban.
Depuis le début du XIX siècle, il n'était plus habité et fut partiellement détruit. Subsiste aujourd'hui, pour l'essentiel, le donjon carré du XIV siècle avec ses mâchicoulis et échaugettes. Il abrite plusieurs salles voûtées en croisées d'ogives.
Dominant fièrement la vallée sauvage et encaissée de la Truyère, d'où que l'on arrive, impossible d'échapper à l'extraordinaire vue du château de Valon, véritable forteresse contrôlant autrefois l'accés à la vallée qu'il surplombe de plus de 200 m.
Construit au XII siècle, il fut remis en 1150 à Raymond Béranger III, comte de Barcelone. Plus tard, les anglais l'occupèrent avant d'en être délogés par "Les Routiers" vers 1378. En 1387, le château revint aux comtes d'Armagnac, comtes de Rodez.
Au XVI siècle, le château appartenut à la famille Chaumeil (Jean de Dienne), avant de revenir en 1587 à Louis de Fontanges d'Auberoque. Après une période aux mains des comtes de Monaco, celui-ci fut cédé à Jérôme de Verdier de Mandilhac, trésorier de France en la généralité de Montauban.
Depuis le début du XIX siècle, il n'était plus habité et fut partiellement détruit. Subsiste aujourd'hui, pour l'essentiel, le donjon carré du XIV siècle avec ses mâchicoulis et échaugettes. Il abrite plusieurs salles voûtées en croisées d'ogives.
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