Si Danièle Evenou veut trouver le trou, elle regarde dedans
Le 17 septembre 2009, c'était jour de canicule à Montluçon, dans l'Allier.
Mais c'est Danièle Evenou, qui a fait rougir le public des seniors, massés sous un chapiteau dans la cour de la résidence Domitys.
L'artiste télévisuelle avait fait, aux résidents réunis pour l'occasion des Olympiades, le cadeau du spectacle qu'elle préparait pour les scènes parisiennes.
“Je ne suis pas une intello”, prévient celle que l'on appelle encore du nom hybride -mi-sainte, mi-fleur- “Marie-Pervenche”.
Le quotidien était bouleversé, ce sont les circonstances qui l'avaient changé.
En 2010, peut-être pourrait-t-on échapper à la chaleur accablante du chapiteau ? En reculant sa chaise, à peine, assez pour passer de l'autre côté de la toile bleue et blanche. Pour respirer.
Mais c'est Danièle Evenou, qui a fait rougir le public des seniors, massés sous un chapiteau dans la cour de la résidence Domitys.
L'artiste télévisuelle avait fait, aux résidents réunis pour l'occasion des Olympiades, le cadeau du spectacle qu'elle préparait pour les scènes parisiennes.
“Je ne suis pas une intello”, prévient celle que l'on appelle encore du nom hybride -mi-sainte, mi-fleur- “Marie-Pervenche”.
Le quotidien était bouleversé, ce sont les circonstances qui l'avaient changé.
En 2010, peut-être pourrait-t-on échapper à la chaleur accablante du chapiteau ? En reculant sa chaise, à peine, assez pour passer de l'autre côté de la toile bleue et blanche. Pour respirer.