Le traité de Lisbonne est une forfaiture

  • il y a 15 ans
Dans son dernier livre, "Mémoires d'espoir" publié en 1970, le général De Gaulle mettait en garde les Européens et les Français contre une possible évolution technocratique d'une construction européenne réalisée contre la liberté et l'intérêt des peuples.

Les parlementaires ont voté en congrès la modification de la constitution préalable à la ratification du traité de Lisbonne. Ainsi ils ont validé la forfaiture présidentielle consistant à imposer au peuple français le traité rejeté par celui-ci en 2005.

Il s’agit là d’un des plus graves coups portés à la démocratie dans notre pays, avec la complicité de la plupart des députés et sénateurs.

Ceux-ci avaient pourtant la possibilité de bloquer le processus et d’imposer un référendum au président de la République : ils ne l’ont pas fait, invoquant des raisons aussi fallacieuses les unes que les autres !