Décharge de Vaux-sur-Seine : le scandale continue...
- il y a 15 ans
Le Maire de Vaux-sur-seine (Julien Crespo) a autorisé et persiste à appeler l’enfouissement une opération de la société Petitdidier qui consiste à stocker des milliers de tonnes de déchets du bâtiment pendant des années sur plusieurs hectares de sa commune dans la foret de l’Hautil.
Le projet d’étendre cette décharge sur plus de 30 ha soulève l’indignation des habitants, des associations et des communes voisines, ce qui nous a conduit à créer le Collectif pour la protection du massif de l’Hautil. Une procédure judiciaire est en cours afin de faire stopper cette décharge illégale. Devant la mauvaise fois évidente de certains, afin de clarifier l’information que les médias semblent avoir du mal à relayer objectivement, devant l’inertie des services de l’Etat dont le rôle est de faire respecter la loi et après une action de protestation sur les lieux mêmes du faux enfouissement, nous avons invité les présidents (es) des associations Bien vivre à l’ Hautil et CAPESA à préciser leur point de vue afin de rétablir la vérité sur une opération conduite par l’entreprise Petidier avec le soutien du maire Julien Crespeau.
Cette autorisation de soit disant réhabilitation est totalement en opposition avec le Grenelle de l’environnement que l’ambiance politique actuelle proclame dans les médias mais semble parfois oublier de mettre en œuvre sur le terrain.
Le projet d’étendre cette décharge sur plus de 30 ha soulève l’indignation des habitants, des associations et des communes voisines, ce qui nous a conduit à créer le Collectif pour la protection du massif de l’Hautil. Une procédure judiciaire est en cours afin de faire stopper cette décharge illégale. Devant la mauvaise fois évidente de certains, afin de clarifier l’information que les médias semblent avoir du mal à relayer objectivement, devant l’inertie des services de l’Etat dont le rôle est de faire respecter la loi et après une action de protestation sur les lieux mêmes du faux enfouissement, nous avons invité les présidents (es) des associations Bien vivre à l’ Hautil et CAPESA à préciser leur point de vue afin de rétablir la vérité sur une opération conduite par l’entreprise Petidier avec le soutien du maire Julien Crespeau.
Cette autorisation de soit disant réhabilitation est totalement en opposition avec le Grenelle de l’environnement que l’ambiance politique actuelle proclame dans les médias mais semble parfois oublier de mettre en œuvre sur le terrain.